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Il y a 5 produits.

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  • Auteurs: Carol Fenner
  • Auteurs: Dorothy Eden
  • Auteurs: Phyllis Gordon Demarest

N° 378 - La calèche fatale (Phyllis Gordon Demarest)

2,95 €
Tracy Brown arrive de la Nouvelle-Angleterre pour épouser Jeremy à New-York. Pour elle, l'avenir semble tout tracé, mais le jour même de ses retrouvailles avec son fiancé, la calèche dans laquelle ils se trouvent est accidentée. Jeremy est tué et Tracy grièvement blessée, est recueillie par le docteur Tremaine dont la maison est juste en face du lieu de l'accident. Cette maison est pleine d'énigmes et Tracy éprouve de grandes angoisses, malgré les soins et l'attention que lui prodiguent quelques bonnes âmes. N'est-elle pas menacée par cette étrange cousine de Jeremy qui prétend s'occuper d'elle ? Le docteur Sebastian Say est-il un assassin ou l'envoyé du Ciel pour sauver l'humanité ? Et quels diaboliques projets nourrit la belle Clio ? Malgré le malheur qui pèse sur elle depuis le promenade dans la calèche maudite, Tracy découvrira un nouvel amour qui la sauvera de tous les pièges de la grande ville.

Le génie de Yolonda (Carol Fenner)

2,59 €
Yolonda est bien trop grande pour les onze ans, bien trop grosse et noire de surcroît. Mais malheur à qui se moque d'elle : elle met si bien les rieurs de son côté qu'une fille de sa classe la traite de génie. Un génie ? Qu'en dit le dictionnaire ? Yolonda tombe de haut. Il paraît que « le génie authentique réorganise des éléments existants en une forme que personne n'a encore vue ou entendue ». Elle en est bien incapable, mais, ô stupeur, c'est ce que fait son petit frère Andrew quand il joue de son inséparable harmonica. Et on le traite de débile parce qu'il ne sait pas lire à six ans ! C'est trop injuste ! Il a seulement besoin d'un maître pour génie ! Alors Yolonda se jure de consacrer toute son astuce, toute son obstination, toute son énergie à faire reconnaître le génie d'Andrew. Mais comment ?

N° 3035 - La revanche de l'amour d'après le roman de Dorothy Eden

3,75 €
Extrait : La porte de la chambre s'entrouvrait. Matilda tourna la tête sur l'oreiller et demeura aux aguets. La porte se referma. Quelqu'un l'espionnait. Lally ? Ou bien cette infirmière autoritaire qu'elle détestait ? Sûrement pas Mab. Mab avait le bon sens de se tenir éloignée de cette chambre où se devinait l'approche de la mort. Intrépide, ingouvernable, une vraie Duncastle…

N° 3069 - Des femmes disparaissent d'après le roman de Dorothy Eden

3,75 €
Des femmes disparaissent d'après le roman de Dorothy Eden Emma est chargée d'interviewer Barnabé Court, auteur de romans policiers à succès. L'aventure commence. Une aventure dont on ne peut ici même pas raconter le début, sous peine de gâter le plaisir de la surprise. Car dès les premières lignes, on est en plein inattendu. Comme l'annonce le titre, des femmes disparaissent. Emma se demande, avec une perplexité qui frise parfois l'inquiétude, ce que sont devenues la brune Joséphine, la blonde Sylvie. La série ne s'arrête pas là, jusqu'à ce qu'Emma elle-même… Dorothy Eden tient cette gageure de combiner avec maîtrise l'humour rose et l'humour noir. Car si l'aventure vécue par Emma a des aspects parfois macabres, elle est aussi traversée de part en part par une délicieuse tendresse. Tour à tour, vous rirez, vous frissonnerez, vous serez émue…

N° 284 - A deux pas de la mer (Dorothy Eden)

2,16 €
Extrait : D'où elle se tenait, sur la colline, Tessa avait une vue d'ensemble de l'école. A droite, les bâtiments proprement dits, derrière le verger, et, miroitante sous le ciel d'été, la petite nappe d'eau qui occupait le fond de l'excavation. Comment cette eau, théâtre d'un drame, pouvait-elle sembler aussi innocente, comment les fenêtres de l'école pouvaient-elles donner l'impression que derrière elles la vie poursuivait son cours normal ? Les vitres de Charlotte étaient ouvertes, le vent gonflait doucement les rideaux de coton blanc, et Tessa s'attendit presque que sa soeur agitât un mouchoir lui faisant signe de rentrer. La fenêtre de Fanny était fermée, ce qui voulait dire que la jeune fille était probablement étendue sur son lit se reposant. Tessa l'imaginait, inerte, lourde, les mains immobiles, le regard vague car ainsi que le disait Luc, Fanny n'avait pas repris ses sens. Tessa croyait plus volontiers que Fanny savait quelque chose qu'elle ne voulait pas communiquer aux autres et que son air absent venait de là…
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