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  • Auteurs: Caroline Lawrence
  • Auteurs: Jean Maufarge
  • Auteurs: L. Veil

N° 20 - La jeune prisonnière (Jean Maufarge)

9,90 €
Marie-France Delabarre, qui vient d'achever ses études d'ingénieur-chimiste, n'espérait pas une situation aussi merveilleuse: c'est un véritable pont d'or que lui fait M. de La Mortara. Il est vrai qu'il l'emmène en Argentine et qu'autour de cette mine à mettre en valeur plane un certain mystère… Roberto, le beau-fils un peu volage, mais très séduisant, de La Mortara, a reçu l'ordre bizarre de faire sa cour à Marie-France… Mais c'est une autre qu'il semble aimer, sa cousine Mercédès… La jalousie de Mercédès ne va-t-elle pas rendre la vie impossible à Marie-France ? Un accident au cours d'une promenade en montagne… Une calme et hospitalière maison où Marie-France est à la fois reine et prisonnière… Un Roberto étrangement sérieux, parfois dur, mais d'une admirable sollicitude… Pendant ce temps, mille intrigues se trament pour la propriété de la mine. Le coeur de Marie-France s'éveille à l'amour, mais aussi à l'inquiétude, aux tourments. Comment pouvait-elle deviner l'extraordinaire secret d'où, à la fin, sortira son bonheur ?

Les mystères romains T1 : Du sang sur la via Appia (Caroline Lawrence)

4,05 €
Ils sont quatre : Flavia, fille d’un riche armateur romain, Jonathan, un jeune chrétien, Nubia, l’esclave africaine, et Lupus, le jeune mendiant muet. Tout les oppose. Et pourtant… À la poursuite d’un impitoyable tueur en série, les quatre enfants vont s'allier. Pour le meilleur et pour le pire. Pour les 10-11 ans.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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