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  • Auteurs: Charlotte Lamb
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Sally Fairchild

N° 703 - Et t'apprendre à aimer (Charlotte Lamb)

2,15 €
Le destin est vraiment cruel ! Pourquoi fallait-il que Miranda surprenne cette conversation à la veille de son mariage ? Sean n'est donc intéressé que par son argent et sa position sociale… La jeune fille est absolument désorientée. Peut-elle accepter l'humiliation de cette union ? Faut-il rompre, au risque de provoquer un scandale ? Perdue, elle fait sa valise et part dans la nuit. Mais la fuite n'est pas une solution…

L'héritière sans passé (Sally Fairchild)

5,50 €
Depuis la mort de son mari, Piero Falcone, un riche aristocrate italien assassiné dix ans plus tôt, Adriana dirige les entreprises Falcone d'une main de fer. Un combat quotidien où la concurrence est rude et les ennemis nombreux. Parmi ses adversaires, toutefois, il en est un, Thorne Weston, qu'elle redoute tout particulièrement. Car la rivalité en affaires ne suffit pas à justifier l'acharnement que met cet homme à la combattre. Pas plus qu'elle ne peut expliquer l'attitude ambiguë, tour à tour haineuse ou protectrice, dont il fait preuve à son égard. Troublée autant qu'intriguée, la jeune femme décide d'enquêter sur le passé familial. C'est alors que, peu à peu, le puzzle se met en place, au centre duquel apparaît bientôt, à travers les pages d'un journal intime, la figure lumineuse de Julia, une femme libre et audacieuse avec laquelle Piero Falcone entretint jadis une liaison secrète et passionnée. Adriana comprend alors la vérité... et ce secret qui nourrit la haine de Thorne depuis des années…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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