Chariot
0 articles
Votre panier est actuellement vide
Login
Connexion au compte existant Connectez-vous à votre compte
réinitialiser le mot de passe
Nouveau compte S'inscrire
Accueil
-
- Harlequin
- J'ai lu
- Duo
- Presses de la Cité
- Ferenczi & Fils
- Librairie Jules Tallandier
- Romances - Divers éditeurs
- Magazines - Suppléments
- Littérature Jeunesse
- Activités - Coloriages - Jeux
- Lire en anglais
- Livres pour les tout-petits (0-3 ans)
- Premières lectures
- Contes, légendes et mythologies
- Histoire et Classiques
- Petites et grandes fictions
- Bandes dessinées
- Bibliothèque Verte
- Bibliothèque Rose
- Bibliothèque Rouge et Or
- Collection Spirale
- Idéal~Bibliothèque
- Journaux - Brochures
- Les bandes dessinées
- Autres rayons littérature
- Harlequin
Filtrer par
Auteurs
Auteurs
Collections
Collections
Editeurs
Editeurs
Prix
Prix
-
2,00 € - 4,00 €
Accueil
Affichage 1-3 de 3 article(s)
Le treizième chat noir (Christian Poslaniec)
2,56 €
A Beaugency, il y a un pont et une légende. La légende raconte qu'autrefois, tout le monde pouvait entrer à Beaugency en traversant le pont, mais personne ne pouvait en ressortir. Quiconque tentait de franchir le pont en sens inverse était transformé en chat noir, qui allait semer le malheur dans les contrées avoisinantes. Quiconque, excepté une personne. C'est la légende du chat du diable. Dès son arrivée à Beaugency, l'écrivain Christian Spivac a croisé la légende. Il l'a même frôlée de très près. Et il a rencontré un garçon mystérieux, qui semble vivre tout seul, et qui dit fabriquer du malheur. Christian Spivac se rendait simplement au Salon du livre de Beaugency. Maintenant il attend le treizième chat noir. De 9 à 12 ans.
N° 519 - Soupirs d'amour (Marcel Vigier)
3,05 €
Extrait : Se tenant par le bras, les deux jeunes gens cheminaient doucement. Roger se pencha vers l'amie, et tout bas, demanda : — Tu m'aimes ? Elle sourit à cette question qui lui parut saugrenue, tant ils s'étaient juré souvent qu'ils s'adoraient. Une lueur malicieuse passa dans ses grands yeux noirs et ses lèvres sanguines s'écartèrent sur la ligne laiteuse des dents. Il l'étreignit passionnément, et ils rirent ensemble avec éclat, sans raison, simplement parce qu'ils étaient heureux. — Bientôt ! fit-il à mi-voix. Et elle sourit encore, comprenant qu'il s'agissait de leur mariage fixé à une date proche. Puis ils se remirent en marche vers le toit maternel, où chaque soir, le jeune homme reconduisait l'aimée. Devant la porte, ils eurent une dernière étreinte qui les jeta poitrine contre poitrine, tremblants de tout l'être. Et Roger s'éloigna, le coeur serré par une tristesse insurmontable…