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  • Auteurs: Cara Summers
  • Auteurs: Christine Palluy
  • Auteurs: L. Veil

La Petite Princesse (Christine Palluy, Christine Circosta)

4,92 €
Lorsque son père, le riche capitaine Crewe, la confie aux bons soins de Miss Minchin et de son pensionnat londonien, la petite Sara découvre une toute nouvelle vie faite d'amitiés et de rêves. Choyée et entourée, elle vit comme une véritable princesse. Jusqu'au jour où une terrible nouvelle va tout bouleverser… D'après le célèbre roman de Frances H. Burnett, adapté par Christine Palluy.

N° 1333 - Captive d'un mensonge (Cara Summers)

2,15 €
A vingt-cinq ans, Lily aimerait bien que son père la prenne enfin au sérieux. Il y aurait bien une solution pour le convaincre qu’elle possède les qualités nécessaires pour devenir son associée : accepter – et surtout réussir ! — la mission délicate qu’il lui propose, en faisant croire à Tony Romano, le propriétaire d’un hôtel à Manhattan, qu’elle peut l’aider à trouver le financement dont il a besoin. Un pur mensonge, car en réalité, elle doit réunir des informations susceptibles de le contraindre à vendre son hôtel à son père !  Lily n’a pas le choix : si elle veut montrer qu’elle a l’étoffe d’une dirigeante d’entreprise, elle mentira à Tony. Mais ce qu’elle n’a pas prévu, c’est d’avoir à résister à l’attraction immédiate qu’elle ressent pour celui qu’elle est venue espionner…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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