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  • Auteurs: Claude Arlet
  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: Marcelle de Morthone

N° 88 - Le croissant de lune (Claude Arlet)

12,00 €
Au château de la Vrillère, le comte de Vaudrey est gravement malade. Une jeune fille le soigne, Anne-Marie, si fine, si distinguée, si dévouée, que le jeune docteur Raoul Delannoy s'est bien vite épris de la charmante infirmière… Le docteur, cependant, est fort troublé, lorsqu'il découvre des traces d'empoisonnement chez le malade. Anne-Marie serait-elle un monstre de duplicité ? Il ne peut le croire, mais fait venir le fils du châtelain, Norbert. Norbert était brouillé avec son père, et jusque-là Anne-Marie s'était farouchement opposée à sa venue. L'arrivée au château de deux autres femmes va rendre plus difficile encore la situation d'Anne-Marie et plus lourds les soupçons qui pèsent sur elle. Raoul n'a pourtant jamais douté de celle qu'il aime… Mais quel miracle — ou quelle cruelle découverte — permettra d'innocenter la jeune fille et de réunir deux coeurs malheureux ?

N° 51 - La fugitive de Knoxley (Claude Arlet)

12,00 €
Gladys Wells est pauvre. Au manoir de Knoxley, où elle est la pupille des O'Brien, et où elle sert, en fait, de bonne, son tuteur s'est mis en tête de la marier à un homme d'affaires à qui il veut emprunter de l'argent. Elle s'enfuit, plutôt que d'accepter. Patrick O'Brien, son ami d'enfance, se blesse gravement en essayant de la retrouver… Mais Gladys l'ignorera toujours. Elle a rejoint Londres, fait des études d'infirmière, et elle part au Nigéria, soigner les nègres d'une exploitation. Elle y deviendra amoureuse d'Eric, et découvrira, dans un bungalow de la forêt, un secret qui pourrait transformer son existence… Mais pourra-t-elle jamais reprendre aux O'Brien cette fortune usurpée ? Surtout lorsqu'elle apprend le sacrifice que Patrick, pour elle, a consenti… Sera-t-elle vouée à soigner un infirme ?… Ou le destin sera-t-il favorable, en remettant toutes les cartes en place, en donnant à la fois le bonheur à Gladys et Eric, à Patrick et Mireille ?

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
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