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  • Auteurs: Claude Cénac
  • Auteurs: Kathleen Creighton
  • Auteurs: L. Veil

Contes et légendes de l'An Mil (Claude Cénac)

3,56 €
Les populations qui vivaient en l'An Mil furent perturbées par cette époque mouvementée, angoissante. Ces contes sont le reflet de leurs croyances naïves, mais ils rendent aussi hommage à leur intelligence, au courage et à l'humour qui leur ont permis de survivre… Un recueil à la fois savoureux, tendre et drôle.

N° 414 - Un inconnu dans la ville (Kathleen Creighton)

2,15 €
Ce matin-là, quand il s'éveilla, la première pensée de Niall Rankin fut pour Ann Severn… En glissant dans le sommeil, il avait emporté avec lui l'image de ce visage aux traits délicats et le contact de ce corps menu entre ses mains. Et il retrouvait tout cela au matin, intact, comme une tache indélébile dans sa mémoire. Oui… Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas tenu une femme dans ses bras, et plus longtemps encore qu'une femme n'avait pas retenu son attention. Lui, l'éternel vagabond, qui errait depuis toujours à travers le monde, solitaire parmi les solitaires, voilà qu'il se surprenait à désirer tout ce qu'il s'était interdit jusque-là. Une vie bien rangée, une petite ville de province... et l'amour fidèle et quotidien d'une femme comme Ann Severn.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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