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  • Auteurs: Claude Renaudy
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Régine Aldi

N° 203 - L'Abandonnée (Régine Aldi) - Spencer TRACY et Deborah KEN en couverture

3,50 €
L'abandonnée Grand roman d'amour inédit par Régine Aldi Extrait : A une cinquantaine de kilomètres de Salerno, dans une baie dont la beauté ne le cède en rien à celle de Naples, le petit village de Rechi groupe ses maisons blanches et basses, aux toits rouges, aux fenêtres toujours ouvertes comme de grands yeux qui contempleraient la mer. Du village, un sentier grimpe le long de la falaise et, au bord du sentier, d'autres maisons se sont posées ça et là comme autant de nids d'oiseaux accrochés au flanc de ces roches rouges que le soleil du couchant rend plus rouges encore… La dernière est située presque au sommet, c'est une longue bâtisse sans étage, toute de chaux blanchie, avec de petites fenêtres carrées et des volets peints en vert. C'est là que Riggi, le vieux pêcheur est né, c'est là qu'il a grandi, qu'il est devenu un fin pêcheur ; c'est là qu'un jour il a ramené sa femme, du village de Pisciotta…

Un secret en danger (Ernest Fornel) - Collection Printemps Recueil N° 37

12,00 €
Recueil de 6 romans complets - Un secret en danger (Ernest Fornel) : N° 217 paru en 1937, - L'aire des aiglons (Jean de Fervacques) : N° 218 paru en 1937, - Tôt ou tard (Michel Dorlys) : N° 219 paru en 1937, - La maison cernée (Claude Renaudy) : N° 220 paru en 1937, - Sports d'hiver (Thérèse Bernardis) : N° 221 paru en 1937, - Rose-des-vents (Maria de Crisenoy) : N° 222 paru en 1937.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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