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  • Auteurs: Clayton Bess
  • Auteurs: Gerald Bowman
  • Auteurs: Lili S. Junod

Par une nuit noire (Clayton Bess) - Castor Poche N° 98

2,74 €
Par une nuit sans lune, au coeur de la brousse africaine plongée dans l'obscurité totale, une main inconnue rappelle, à grands coups redoublés, à la porte de la case isolée où vivent Momo, Ma sa mère, vieille Ma sa grand-mère et Meatta sa petite soeur. Deux femmes demandent l'hospitalité pour elles et leur bébé. Le lendemain, au réveil, les femmes ont disparu : seul reste le bébé étranger. Et la vérité éclate au grand jour : la petite a la variole ! Ma peut-elle pour autant l'abandonner ? Momo et sa famille survivront-ils à la terrible maladie qui s'abat sur eux ? Par une nuit noire , qui a pour cadre la brousse du Libéria, est un roman fondé sur des faits réels.

N° 205 - Les rescapés du ciel (Gerald Bowman)

3,50 €
Depuis qu'il existe des avions, les « rescapés du ciel » sont plus de quarante mille : quarante mille aviateurs à qui leur parachute a sauvé la vie, en temps de paix comme en temps de guerre. Certaines d'entre eux ont des histoires sensationnelles à raconter. Ce sont ces histoires — dramatiques, héroïques ou même comiques, mais toujours palpitantes — que Gerald Bowman a rassemblées ici. Elles prouvent une fois de plus que, bien souvent, la réalité dépasse de loin la fiction la plus romanesque !

N° 1631 - La cavalière de minuit (Lili S. Junod)

3,74 €
Extrait : Juste Delrode vida sa pipe d'un geste familier en la toquant à petits coups secs contre le mur de l'âtre où rougeoyaient les derniers tisons. Son visage boucané par les intempéries, la vie en plein air, les épreuves des dernières années de guerre, reflétait une expression maussade, accentuant la dureté du regard enfoncé et des lèvres minces qui jamais ne souriaient. Sa femme, la Maria, effacée, humble, toujours craintive devant ce maître redouté qui, jadis, l'avait choisie pour sa beauté, alors qu'elle n'était qu'une pauvre orpheline élevée par les soeurs, épiait en tremblant les signes de contrariété silencieuse qu'elle voyait figer les traits de Juste. Sa bonne figure douce gardait malgré le temps et l'âge une finesse exquise, le même bleu pur des yeux, un bleu de vitrail au soleil, étonnamment clair. Soudain tonna la voix de son homme : — Dis donc, la Maria ! Sais-tu ben qu'not'fille a fait tant d'progrès qu'la maîtresse d'école voudrait qu'al aille finir d'étudier dans eun'ville de par ici ? Ça m'plaît point, j'te l'dis tout franc…
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