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  • Auteurs: Clayton Bess
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Ruth Jean Dale

Par une nuit noire (Clayton Bess) - Castor Poche N° 98

2,74 €
Par une nuit sans lune, au coeur de la brousse africaine plongée dans l'obscurité totale, une main inconnue rappelle, à grands coups redoublés, à la porte de la case isolée où vivent Momo, Ma sa mère, vieille Ma sa grand-mère et Meatta sa petite soeur. Deux femmes demandent l'hospitalité pour elles et leur bébé. Le lendemain, au réveil, les femmes ont disparu : seul reste le bébé étranger. Et la vérité éclate au grand jour : la petite a la variole ! Ma peut-elle pour autant l'abandonner ? Momo et sa famille survivront-ils à la terrible maladie qui s'abat sur eux ? Par une nuit noire , qui a pour cadre la brousse du Libéria, est un roman fondé sur des faits réels.

N° 1868 - Le pacte amoureux (Ruth Jean Dale)

2,15 €
En passant ce pacte avec Dylan, Katy n'avait pas songé que les choses iraient aussi loin… Mais elle avait cruellement besoin d'un fiancé pour ne pas peiner sa grand-mère, et Dylan, d'une petite amie suffisamment jalouse pour le débarrasser de l'audacieuse Brandee. Aussi avaient-ils joué la comédie, persuadés qu'ils ne feraient guère longtemps illusion. Mais dans la petite ville de Rawhide, où ils habitaient depuis l'enfance, ils se retrouvaient à présent liés l'un à l'autre de façon officielle. Une situation cocasse, qui n'était pas pour déplaire à Katy…

N° 960 - L'héritière insoumise (Ruth Jean Dale)

2,95 €
Les héritiers de Lyoncrest - Tome 1/3 Fortunes et secrets d'une grande famille de Louisiane... Paul et Margaret Lyon ont assis leur pouvoir sur un empire médiatique. Surnommée la Reine de Fer, Margaret veille à ce que pas une miette de ce pouvoir n'échappe à sa famille. Gardienne des secrets du clan, elle impose la loi du silence à tous ses proches. Mais toutes les familles ont leur rebelle - Sharlee Hollander, sa petite-fille, est cette rebelle. Aussi, lorsque Margaret se met en tête de réunir l'ensemble du clan autour de Paul, gravement malade, elle est face à deux questions : comment faire revenir Sharlee à la Nouvelle-Orléans ? Comment empêcher cette insoumise héritière de s'intéresser de trop près aux secrets qui préservent la puissance des Lyon ?

N° 981 - L'aveu d'un amour (Ruth Jean Dale)

2,25 €
Obligée de jouer momentanément les sosies pour le compte de Sharlayne Kenyon, une actrice partie se reposer incognito, Alice incarne sans plaisir son personnage. Plutôt réservée, et peu habituée au luxe, elle déteste se faire passer pour cette femme scandaleuse — surtout face à Jed Kelby, son nouveau garde du corps, qui l'attire irrésistiblement, et à qui elle souhaiterait désespérément révéler sa véritable identité. Mais muselée par son contrat qui l'engage à la confidentialité absolue, Alice s'enfonce doucement dans le mensonge, et aussi dans les doutes : Jed l'aime-t-il pour les qualités qu'il a su percevoir en elle ? Ou bien n'aime-t-il à travers elle que l'image sulfureuse et fascinante de Sharlayne, dont il supporte pourtant mal le tumultueux passé ? La situation atteint son point de crise le jour où, ayant appris avec quelle indifférence Sharlayne a abandonné son bébé, autrefois, Jed se croit épris d'une femme incapable d'aimer.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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