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  • Auteurs: Colette
  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs

La paix chez les Bêtes (Colette)

7,05 €
« Je ne suis pas une princesse enchaînée », dit Lola, la levrette blanche. « Je suis le diable ! » dit Poum, le chat noir. Et ainsi, au cours des diverses nouvelles de cet ouvrage si justement célèbre, Colette, parlant au nom de ceux qu'elle décrit, nous révèle une image inattendue et vraie de chacun, qu'il soit chien ou chat, vous ou tigre, serpent ou insecte. Mais, ce charme tant vanté, cette magie unique du style de Colette, qu'est-ce ? sinon tout simplement ce regard aimant, lucide et profond qu'elle savait si bien poser sur les animaux. Chez tous, même chez la petite chienne de salon, elle découvre une âme fière et sauvage. Pour tous, même pour la hyène du jardin zoologique, elle éprouve le besoin d'une caresse… La paix chez les Bêtes… qui, mieux que Colette, pouvait nous la faire connaître ?

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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