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  • Auteurs: Colette
  • Auteurs: Ethel Edison Gordon
  • Auteurs: L. Veil

La paix chez les Bêtes (Colette)

7,05 €
« Je ne suis pas une princesse enchaînée », dit Lola, la levrette blanche. « Je suis le diable ! » dit Poum, le chat noir. Et ainsi, au cours des diverses nouvelles de cet ouvrage si justement célèbre, Colette, parlant au nom de ceux qu'elle décrit, nous révèle une image inattendue et vraie de chacun, qu'il soit chien ou chat, vous ou tigre, serpent ou insecte. Mais, ce charme tant vanté, cette magie unique du style de Colette, qu'est-ce ? sinon tout simplement ce regard aimant, lucide et profond qu'elle savait si bien poser sur les animaux. Chez tous, même chez la petite chienne de salon, elle découvre une âme fière et sauvage. Pour tous, même pour la hyène du jardin zoologique, elle éprouve le besoin d'une caresse… La paix chez les Bêtes… qui, mieux que Colette, pouvait nous la faire connaître ?

N° 348 - La ferme des ombres (Ethel Edison Gordon)

3,54 €
Une maison isolée, sinistre, transformée en hôtel, dans la montagne au-dessus de Cannes… Deux demi-frères américains dont l'attitude est toujours mystérieuse. Sophie, une vieille gouvernante hostile et qui tient des propos pleins de sous-entendus inquiétants. Laure, une très belle jeune femme, exaltée, équivoque… Dans cette atmosphère tragique, deux jeunes Américaines arrivent pour passer des vacances. Qu'adviendra-t-il d'elles, de leurs rêves, de leurs amours ? Leur vie ne sera-t-elle pas menacée ? Et parmi tous ces personnages énigmatiques, lesquels sont les bons, lesquels les méchants ?

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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