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  • Auteurs: Constance Milburn
  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs

N° 399 - Une goutte de saphir (Constance Milburn)

2,95 €
C'était un petit garçon anglais très malheureux, sans tendresse, toujours replié sur lui-même dans une famille nombreuse, misérable et sans joie. Mais Jake ne connaissait pas l'amertume et il suffit qu'un compagnon d'école devienne son ami et le fasse inviter par ses parents le temps des vacances, pour que Jake découvre l'amitié, le sentiment d'être utile aux autres, le goût du travail, la dignité humaine… Et, à travers les années, Jake devient un adolescent studieux et découvre l'amour de peindre, de s'exprimer à travers des paysages et surtout ces reflets changeants de la mer si difficiles à fixer sur la toile, si exigeants… Eclairée par la seule amitié, la vie de Jake coule solitaire et pudique. Mais ne sonnera-t-elle pas l'heure désirée où les coeurs se rencontrent enfin et où s'accomplit le bonheur ?

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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