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Il y a 3 produits.

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  • Auteurs: Dominic Barker
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Margaret Summerton

N° 338 - Les boîtes chinoises (Margaret Summerton)

2,95 €
Helen Rootham a été assassinée… Steve Blundell est le suspect N° 1… Sa femme, Clare, ne croit pas à sa culpabilité, malgré les apparences et même malgré la pénible constatation que Steve voyait Helen clandestinement et que ses explications sont confuses. Elle décide de mener sa propre enquête avec cette intuition et cette ténacité féminines qui soulèvent des montagnes. Au péril de sa vie, pour prouver l'innocence de son mari, elle fouille les zones d'ombre qui entourent le passé de Steve et de ceux qui partagèrent son enfance… Une histoire passionnante. Un suspense angoissant.

BLART T1 : Chroniques d'un crétin trouillard qui devait sauver le monde (Dominic Barker)

5,25 €
— Blart, lança Capablanca, à présent que tu sais que tu es l'élu, acceptes-tu de m'accompagner pour sauver le monde ? — Non, répondit Blart. J'ai pas envie. Je vais me coucher. Et sur ces mots, le dernier espoir de l'humanité se leva de sa chaise et monta lourdement les marches, non sans lâcher un rot bruyant. Sauver le monde, et puis quoi, encore ? Blart, un simple gardien de cochons, n'a pourtant pas le choix. Il doit obéir au sorcier Capablanca flanqué d'un chevalier ivrogne, un cheval volant, une princesse grincheuse et un nain coléreux. Une bande de bras cassés, pour sauver le monde ? Bon courage ! À partir de 10 ans.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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