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  • Auteurs: Capitaine Poidloue
  • Auteurs: Dominic Barker
  • Auteurs: Philippine Terris

N° 224 - Le capitaine du « Lanvéoc » par le Capitaine de vaisseau Poidloue

8,00 €
12 Gravures Extrait : LE DÉPART DE CHERBOURG - Ce soir-là le capitaine Kerfabiec fumait tranquillement sa pipe dans son petit jardin. Il habitait une coquette maison dans un village situé sur la côte de Bretagne, et il s'y reposait de temps en temps de ses voyages au long cours. En sa qualité de capitaine de commerce, il allait porter des marchandises enterre lointaine sur son vapeur, la Marie-Rose . Et il rapportait les produits les plus variés : soies du Japon, coton d'Amérique, chevaux de l'Argentine, blé du Canada ou de Russie, boeufs de Madagascar, etc. C'est dire qu'il allait dans tous les ports du monde. Aussi, quels beaux récits il faisait à ses deux jeunes fils, Charles et Jacques, et à leur mère, quand il se trouvait dansa petite maison de Bretagne, comme ce soir-là, au milieu de sa chère famille…

BLART T1 : Chroniques d'un crétin trouillard qui devait sauver le monde (Dominic Barker)

5,25 €
— Blart, lança Capablanca, à présent que tu sais que tu es l'élu, acceptes-tu de m'accompagner pour sauver le monde ? — Non, répondit Blart. J'ai pas envie. Je vais me coucher. Et sur ces mots, le dernier espoir de l'humanité se leva de sa chaise et monta lourdement les marches, non sans lâcher un rot bruyant. Sauver le monde, et puis quoi, encore ? Blart, un simple gardien de cochons, n'a pourtant pas le choix. Il doit obéir au sorcier Capablanca flanqué d'un chevalier ivrogne, un cheval volant, une princesse grincheuse et un nain coléreux. Une bande de bras cassés, pour sauver le monde ? Bon courage ! À partir de 10 ans.

N° 3417 - Mensonge et passion (Philippine Terris)

3,75 €
Mensonge et passion Un roman inédit de Philippine Terris Extrait : J'eus un soupir exaspéré et, pendant une seconde, je crus que j'allais me jeter sur la toile, pour la lacérer. Je me contentai d'essuyer mon pinceau soigneusement. Par les vitres de l'atelier, une blafarde lumière d'hiver tombait sur le tableau que j'étais en train de peindre. Le costume de l'homme en rouge paraissait plus éclatant et plus pâle, son visage anguleux : — Mais les yeux… Je n'arrive pas à peindre les yeux… Et j'arrachai ma blouse, à grands gestes impatients. J'avais mal à la tête, une subite envie de pleurer. Il est terrible d'essayer de traduire en formes, en couleurs, ce qui est le reflet mouvant de votre imagination.. — Quelquefois, c'est même impossible, murmurai-je. Je détournai le regard de l'homme en rouge. Je finirais par le détester, ce visage sans regard, dont la bouche souriait, dédaigneuse…
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