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  • Auteurs: Aleix Cabrera
  • Auteurs: Elisabeth Geoffroy
  • Auteurs: L. Veil

Les fées nous enseignent… l'humilité (Rosa M. Curto, Aleix Cabrera)

4,55 €
L'humilité est une grande vertu. C'est la disposition à reconnaitre ses propres limites et erreurs, et a accepter sereinement les critiques d'autrui. Cette vertu s'accompagne toujours de la volonté de s'améliorer chaque jour. Voici une histoire illustrée, pleine de sensibilité, quasi magique. Elle met en scène la fée Susy, qui offre un extraordinaire exemple de simplicité à ses amies, et cela sans ostentation. Consciente de sa fragilité, celle-ci décide de se présenter à une sorte de concours, mais ce qu'elle propose sera tourné en ridicule par toutes ses camarades. C'est pourtant elle qui va finir par susciter l'admiration et le respect de toutes les autres fées !

N° 64 - Le dernier concerto (Elisabeth Geoffroy)

2,12 €
Le concerto s'interrompit à l'heure où mourut Frédéric. Des pivoines blanches s'effeuillaient sur le piano, l'amour ne reviendrait plus. Pourtant, une nuit, à l'heure où l'été entre dans l'automne, un concerto guida Natacha vers Vincent de Warnies. L'amour s'en vient. L'amour s'en va. Combien de mystères à résoudre, combien de secrets à percer pour qu'enfin il demeure ?

Le dernier concerto (Elisabeth Geoffroy)

2,74 €
Le concerto s'interrompit à l'heure où mourut Frédéric. Des pivoines blanches s'effeuillaient sur le piano, l'amour ne reviendrait plus. Pourtant, une nuit, à l'heure où l'été entre dans l'automne, un concerto guida Natacha vers Vincent de Warnies. L'amour s'en vient. L'amour s'en va. Combien de mystères à résoudre, combien de secrets à percer pour qu'enfin il demeure ?

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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