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  • Auteurs: Elisabeth Geoffroy
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Maurice Métayer

Contes de mon iglou (Maurice Métayer) - Le Livre de Poche N° 70

2,56 €
Au pays des neiges errent les fantômes. On entend les bêtes parler : le renard rouge discute et le corbeau ricane. Gare aux sorciers, au loup voleur d'enfants, aux hommes-ours qui enlèvent les filles. Mais les Esquimaux sont malins, ils ont des kayaks rapides, des flèches et des harpons. Aussi, quand vient le long hiver, bien au chaud dans leurs iglous, ils ont d'étranges histoires à nous raconter. À partir de 8-9 ans.

N° 64 - Le dernier concerto (Elisabeth Geoffroy)

2,12 €
Le concerto s'interrompit à l'heure où mourut Frédéric. Des pivoines blanches s'effeuillaient sur le piano, l'amour ne reviendrait plus. Pourtant, une nuit, à l'heure où l'été entre dans l'automne, un concerto guida Natacha vers Vincent de Warnies. L'amour s'en vient. L'amour s'en va. Combien de mystères à résoudre, combien de secrets à percer pour qu'enfin il demeure ?

Le dernier concerto (Elisabeth Geoffroy)

2,74 €
Le concerto s'interrompit à l'heure où mourut Frédéric. Des pivoines blanches s'effeuillaient sur le piano, l'amour ne reviendrait plus. Pourtant, une nuit, à l'heure où l'été entre dans l'automne, un concerto guida Natacha vers Vincent de Warnies. L'amour s'en vient. L'amour s'en va. Combien de mystères à résoudre, combien de secrets à percer pour qu'enfin il demeure ?

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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