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  • Auteurs: Ernest Richard
  • Auteurs: Gary Lukinburg
  • Auteurs: Louis-Albert Zbinden

Le matin des suaires brûlés T2 : Le souffle des légendes (Lukinburg, Tandiang)

5,98 €
Au fond des Ages incertains, alors que l'homme était sous le joug des Dieux Anciens, des Héros naquirent qui changèrent l'Histoire du Monde. Celui d'entre eux, qui fut sans doute le plus légendaire s'appelait SEM. Il eut bien d'autres noms sous d'autres cieux, mais sachez qu'il venait d'OUROUK, près de la Mer Morte, et que, sous la poussière de soufre qui recouvre aujourd'hui son tombeau inviolé, reposent les restes d'un prophète enveloppé pour l'éternité dans un suaire brûlé… Malgré les morsures acharnées de ses ennemis qui ne prient pas sous son glaive et qui veulent encore effacer ses traces posthumes, il est demeuré égal à lui-même, comme une fière statue de granit peut supporter les assauts de l'orage et les outrages du Temps. Cruelle époque il traversa ! Il était issu d'un monde barbare dans lequel personne n'épargnait personne, où l'enfant pouvait tuer son père et la mère égorger l'enfant. Simplement, il cherchait à survivre au coeur d'un chaudron qui n'était pas fait pour lui ! Voilà pourquoi, sans le vouloir vraiment, il en forgea un autre…

N° 3257 - L'emposieu d'après le roman de Louis-Albert Zbinden

3,75 €
Extrait : Il était penché sur une russule quand le coup de feu claqua. Ce fut sec et suivi après quelques secondes d'un écho qui roula dans le ravin, surprenant coup de tonnerre dans un ciel bleu. Redressé, le coeur battant, il tourna son regard dans la direction du lieu où le coup lui avait semblé partir. Ce devait être à l'autre extrémité de la clairière. La chaleur y embuait la base des sapins…

N° 1188 - Puisque tu me fuis... (Ernest Richard)

3,74 €
Extrait : Dans les salons de l'Hôtel Impéria, le Comité général des Armateurs donnait, cette nuit-là, son grand bal annuel. Tout ce que le port de Rouen comptait de notabilités, haut commerce, haute industrie, armée, magistrature et arts, avait tenu à figurer dans cette assemblée extrêmement brillante. Deux jazz, secondés d'orchestres tango-rumba, alternaient à chaque coin de l'immense pièce où chatoyaient uniformes et toilettes… Au brouhaha discret des soirées de bonne compagnie, les arrivants tardifs devinaient en entrant qu'on atteignait à l'instant où, de l'apparat guindé du début, la fête passe à la gaieté aimable qui ne doit plus l'abandonner avant l'aube. On venait de distribuer les cotillons, amusant épisode qui permet au plus grave des capitaines de vaisseau ou colonels en retraite, au plus austère président de cour d'assises d'arborer sans rougir un casque de pompier à moins que ce ne soit un polo de groom !…
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