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  • Auteurs: Ernest Richard
  • Auteurs: Gilles de Saint-Avit
  • Auteurs: Léo Gestelys

N° 126 - Doho l'enchanteresse (Léo Gestelys)

9,90 €
Curieuse destinée que celle de Doho, une fillette arabe que deux officiers avaient vu surgir des ruines fumantes d'une Casbah incendiée. C'était au temps où, sur les Hautes-Plateaux de l'Atlas, les tribus insoumises constituaient une perpétuelle menace. La petite fille avait été enlevée, deux ans auparavant, à une tribu rivale, celle qui justement avait allumé l'incendie… Une fille d'un seigneur de l'Atlas, sans doute… Mais comme elle ne veut pas être rendue à ses parents adoptifs, elle est ramenée à Marrakech, sous la protection de Pierre Arbelier. Il dédaignera les menaces de la sorcière : « La fleur du désert ne peut pas vivre dans la serre… Remets le petit de l'aigle dans son nid… » Il obéira au message de cette grand-mère espagnole - message scellé dans un médaillon d'or que la petite portait à son cou. Que deviendra cette princesse de l'Atlas ? Vous le saurez en lisant « Doho l'enchanteresse ».

Le serment de Natacha (Saint-Avit)

3,92 €
Michka perçut le trouble de la jeune fille. La prenant dans ses bras, il se mit à couvrir son visage de baisers avec tant de douceur, de tendresse, de passion contenue que Natacha en fut bouleversée. Abandonnée contre lui, tremblante, il la sentit amoureuse et crut à sa victoire. Soudain, elle s'écarta. - Non, balbutia-t-elle. Non, je t'en prie. Je ne veux pas. - Mais tu m'aimes ! cria-t-il exaspéré. Je le vois bien… L'amour peut-il naître entre un moujik et une comtesse, dans la Russie des tzars ? Michka, Natacha : deux danseurs prestigieux de l'École impériale de ballet. Ils ont grandi ensemble, Natacha est la fille d'un boyard, Michka le neveu de son cocher... Rien que pour obtenir la permission d'être ballerine, Natacha a fait à son père un terrible serment. Quand tout s'écroule en Russie, la révolution renverse les barrières sociales, honnis l'obstacle qui sépare Natacha du danseur fascinant. Malgré la tourmente de violence et de haine qui ravage leur pays, Michka parviendra-t-il à sauver la vie de Natacha ? A quel prix ?

N° 1269 - La vie cruelle (Léo Gestelys)

3,56 €
Extrait : D'un pas alerte, Edouard de Fontelles montait le boulevard Saint-Michel, le « Boul' Mich' », comme il avait coutume de dire à l'époque pas très lointaine où sa jeunesse studieuse s'écoulait devant cet horizon borné dont la Faculté de Médecine et celle de Droit semblent être les pôles tandis que l'austère Sorbonne en demeure le coeur. …

N° 1224 - La découverte de l'amour (Léo Gestelys)

3,05 €
Extrait : — Je vous remercie, ma chère nièce, d'avoir pris la peine de venir me chercher dans ma retraite et de m'avoir proposé ce moyen de locomotion incontestablement pratique lorsque le temps presse. Non que j'éprouve un réel penchant pour ces dangereuses mécaniques. Au moins, vous me répondez de votre chauffeur ? Il ne se livrera pas à des excès de vitesse ? — Mais non, ma bonne tante, une honnête soixante à l'heure. — Je préfèrerais du vingt ou du vingt-deux, ce que faisait, dans sa jeunesse, la superbe jument alezane de mon regretté père. — Je vous assure, ma tante, Robert est la prudence même ; jamais il ne lui est arrivé le plus petit accident ; mais je ne vois pas Sylvie, ses préparatifs ne sont donc pas encore terminés ? — Ses préparatifs ? Voudriez-vous insinuer que Sylvie puisse être du voyage ? — Il me semblait que vous ne vous sépariez jamais de votre jeune pupille…

N° 1188 - Puisque tu me fuis... (Ernest Richard)

3,74 €
Extrait : Dans les salons de l'Hôtel Impéria, le Comité général des Armateurs donnait, cette nuit-là, son grand bal annuel. Tout ce que le port de Rouen comptait de notabilités, haut commerce, haute industrie, armée, magistrature et arts, avait tenu à figurer dans cette assemblée extrêmement brillante. Deux jazz, secondés d'orchestres tango-rumba, alternaient à chaque coin de l'immense pièce où chatoyaient uniformes et toilettes… Au brouhaha discret des soirées de bonne compagnie, les arrivants tardifs devinaient en entrant qu'on atteignait à l'instant où, de l'apparat guindé du début, la fête passe à la gaieté aimable qui ne doit plus l'abandonner avant l'aube. On venait de distribuer les cotillons, amusant épisode qui permet au plus grave des capitaines de vaisseau ou colonels en retraite, au plus austère président de cour d'assises d'arborer sans rougir un casque de pompier à moins que ce ne soit un polo de groom !…
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