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  • Auteurs: Bruce Coville
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: L. Veil

Le crâne de la vérité (Bruce Coville) - Pocket Junior N° 577

2,74 €
Arrêter de mentir quand on est un fieffé menteur ? Impossible ! C'est ce que pense Charlie, jusqu'au jour où il vole un crâne dans la boutique d'un magicien… un crâne qui parle et qui oblige ceux qui l'approchent à ne dire que la vérité, rien que la vérité, toute la vérité. Ça promet ! À partir de 10 ans.

Mon prof a bousillé la planète (Bruce Coville) - Kid Pocket N° 198

2,56 €
Susan, Duncan et Peter sont revenus sur la Terre. Leur mission ? Établir un rapport dont dépendra le futur de leur planète dans l'univers. Ils se retrouvent face à une invasion de Shpouts et à Big Julie, le plus étrange des extraterrestres ! Les hommes ont de l'avenir. Foi d'humains et d'extraterrestres ! Dès 11 ans.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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