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  • Auteurs: Fernand Peyre
  • Auteurs: Suzanne Masson

N° 147 - L'étrangère (Suzanne Masson)

24,90 €
Les deux jeunes voyageuses franchirent la grille du domaine des « Vieilles Roches » et, sur la dernière marche du perron, elles échangèrent un long regard bouleversé. La plus petite chuchota : — Je t’en supplie, Karline, prends la lettre et sonne. — Jamais ! C’est à toi que cela incombe ! Après tout, n’es-tu pas chez toi ? Ces quelques mots donnèrent un regain de courage à Ingrid. — Nous voudrions voir M. Pierre Lemercier. dit-elle à la vieille servante venue ouvrir. — Vous vous moquez j’imagine ! Notre maître est mort depuis trois ans… Voyant le regard affolé des jeunes filles elle ajouta : — Vous pourriez peut-être vous adresser à son fils ? Entrez, je préviens M. Olivier tout de suite. Ingrid tendit l’enveloppe cachetée au grand jeune homme qui venait d’apparaître. Il ne connaissait pas cette Eva Grützer, de Stuttgart… Et voici que son père avait eu un secret !… Ingrid était sa soeur !… Qu’allait-il faire ?… Que dirait sa mère ? Et la tante Annonciade, et Mlle Dorget, sa fiancée ? Ces deux « indésirables » auraient-elles place au foyer ?

N° 1163 - Le calvaire de Fabienne (Fernand Peyre)

3,05 €
Extrait : — Prends garde, grand-mère, nous voici au perron. — Où est la marche ? — Ici… Avance le pied… Là, parfait, tu y es, grand-mère descends doucement… je te tiens, n'aie pas peur ! — Comment aurais-je peur avec toi, ma petite Fabienne ? Grâce à ton appui, la grand-maman aveugle n'a jamais fait le moindre faux pas… Je n'ai pas le temps d'avoir un désir que ma chère petite-fille l'a déjà deviné, et réalisé… — Nous voici sur la terrasse… Pas pour longtemps, il y a le grand escalier à descendre pour gagner le jardin. — Arrêtons-nous un instant, il fait si bon sur la terrasse. Quel air pur on y respire ! Et quelle vue merveilleuse !…

N° 988 - Petite amie (Fernand Peyre)

2,92 €
Extrait : — Eh bien ! ma petite Janine !… Qu'y a-t-il ?… Tu ne parles pas. Ta figure est toute triste. Est-ce que tu t'ennuierais, par hasard ?… — Oh ! ma tante !… Avec toi, je ne m'ennuie jamais. — Je te remercie du compliment ; mais cela ne m'empêche pas de croire que, pour l'instant, du moins, il y a quelque chose qui ne va pas. Tu as des papillons noirs. — Je t'assure, ma tante, que… — Allons ! Allons !… N'assure rien. Il ne faut pas être grand psychologue pour lire sur le visage d'une jeune fille qui rêve… veux-tu que je te dise à qui ?… Janine baissa les yeux et ses joues s'empourprèrent. — Ah ! Ah ! s'écria la tante en souriant. Il paraît que j'ai touché juste. Ainsi, pauvre mignonne ! André n'a qu'à être huit jours sans venir voir sa petite amie de Savigny pour que celle-ci se mette martel en tête et s'imagine qu'il la délaisse complètement…
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