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  • Auteurs: Françoise Bourdin
  • Auteurs: Jayne Addison
  • Auteurs: L. Veil

Un bonheur ne vient jamais seul (Jayne Addison)

2,95 €
Quand Quinn Barnett avait rencontré Teddy Falco dans le cadre idyllique de Saint-Thomas, dans les îles Vierges, le coup de foudre avait été immédiat. Emportés dans un tourbillon de fièvre et de passion, ils s'étaient aimés à la folie, jour après jour, nuit après nuit, allant même jusqu'à se marier pour exclure à jamais toute idée de séparation. Et puis, il avait bien fallu rentrer à New York. Là, le quotidien avait de nouveau imprimé sa marque, impitoyable. Et la magie n'avait plus opéré. Quinn et Teddy s'étaient soudain rendu compte que tout les séparait. Leur éducation, leur milieu social, leurs goûts, leurs métiers… Ils avaient divorcé et s'étaient séparés. Jusqu'au jour où Quinn s'aperçoit qu'elle est enceinte. Certes, c'est son rêve le plus cher qui se réalise, mais comment Teddy va-t-il accueillir cette nouvelle ?

Jeux de familles (Françoise Bourdin) - 5 romans

14,00 €
Jeux de famille :  Un été de canicule - Un soupçon d'interdit -  L a Promesse de l'océan - D'eau et de feu - A feu et à sang. « On met un peu de soi dans chaque scène, chaque affrontement et chaque douleur. Sans en avoir conscience, l'imagination va aussi puiser dans la mémoire pour trouver l'écho le plus juste. Et je le réaffirme avec force, écrivain est le plus beau métier du monde, si tant est qu'écrire soit un métier. » François Bourdin

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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