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  • Auteurs: Claude Jaunière
  • Auteurs: France Noël
  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs

Flèche au coeur (Claude Jaunière)

7,00 €
Le tir à l'arc ! Voilà une discipline bien étrange pour une jeune fille ! Tel est pourtant le sport favori d'Ariane, devenue championne grâce à son séduisant professeur, Simon Bargain. Au club de tir où elle s'entraîne, Ariane rencontre, un jour, Catherine Letellier. Les deux jeunes filles deviennent très rapidement amies, et Ariane fait la connaissance de la famille Letellier où un remariage a réuni six enfants. L'atmosphère y est gaie et chaleureuse, et Ariane est vite adoptée… surtout par Patrick, un des frères de Catherine, qui s'intéresse particulièrement à elle. Ils forment tous une joyeuse bande et s'amusent beaucoup, organisent des barbecues, font de la pêche sous-marine… jusqu'au jour où Catherine est victime d'un grave accident. Aussitôt après, les ennuis s'accumulent… Simon Bargain est en proie à de très sérieux ennuis financiers et frôle la faillite. Ariane, témoin, un soir, d'une violente dispute entre deux inconnus, tire une flèche dans leur direction et blesse l'un d'eux… Patrick devient soudain indifférent à Ariane… Catherine perd tout entrain, et se remet très difficilement de son accident… Que se passe-t-il ? Quel est le mauvais génie qui hante les jeunes gens ? Comment tout cela se terminera-t-il ?

Les caprices du destin (Claude Jaunière)

4,94 €
Extrait  : Tenace, lancinante, s'arrête quelques instants pour reprendre avec une virulence plus douloureuse à sa tête fatiguée, la sonnerie du téléphone finit par vaincre le refus de Nicole, refus de communiquer avec qui que ce soit, ou volonté de s'abîmer dans son désespoir. Posé sur le tapis auprès de son lit, l'appareil, sous son enveloppe luxueuse de velours bleu, semblait un petit animal familier inoffensif ; et pourtant de lui était venu, quelques heures plus tôt, le désespoir. Pour échapper au tourment qui ne voulait cesser, Nicole souleva le récepteur et, avant même de l'approcher de son oreille, elle entendit l'exclamation à la fois indignée et soulagée de son amie : — Enfin, tu te décides à répondre ! Tu dormais ou quoi ? Elle chuchota d'une voix éteinte : — Je t'en prie, Drinette, laisse-moi, je t'ai tout dit. Je suis épuisée. Je voudrais dormir et je ne peux pas !…

N° 3284 - Dette d'amour (Claude Jaunière) - Coups de sang (Marco Bellone)

4,50 €
Encarts BS Lecture 3284 à détacher Dette d'amour d'après le roman de Claude Jaunière Françoise a des tas de problèmes avec sa mère. Pas étonnant que ses deux frères l'aient laissé tomber pour aller vivre chez leur père… N'y tenant plus, elle aussi s'enfuit. Et c'est lors de cette fugue que la jeune fille fait la connaissance de la famille Désormaux. L'adolescente ne peut s'empêcher de comparer Anne-Marie Désormais à sa propre mère, Lydia. Et pourtant, quelle différence ! Anne-Marie, dans son veuvage, a gardé le souvenir radieux de son mari et projette sur ses enfants le reflet d'un bonheur qui fut parfait. Lydia, divorcée, se croyant mal aimée des siens, s'est aigrie. Grâce à ce qu'elle a appris au contact d'Anne-Marie, Françoise reviendra chez sa mère, bien décidée à essayer de la comprendre et à l'aimer enfin. Lydia pourra-t-elle oublier et pardonner ? Cet amour tout neuf accomplira-t-il le miracle tant attendu ? DETTE D'AMOUR, le roman poignant de Claude Jaunière, nous confronte avec un drame, hélas ! trop actuel : celui des adolescents en face de la mésentente des parents. Coups de sang , une nouvelle policière inédite de Marco Bellone

N° 3184 - La folle imprudence d'après le roman de Claude Jaunière

2,90 €
Par une nuit pluvieuse, dans une allée sombre du bois de Boulogne, un homme, le visage ensanglanté, se précipite vers une voiture conduite par une jeune femme qui ralentissait à un feu rouge. Il monte et lui ordonne, une arme à la main, d'accélérer. Que faire, sinon obéir ? Tel est le point de départ du dernier roman de Claude Jaunière, roman d'amour s'il en est puisque, entre le blessé, le beau Norvégien Svein Roeren et Gertrude Deschamps, tout de suite séparés, des liens se sont néanmoins noués. L'auteur nous entraîne à la suite de ses personnages à travers la Norvège, avec ses paysages prestigieux, ses fjords, ses montagnes, ses forêts, ses cascades et surtout ses nuits d'été qui ne finissent pas. Ne sommes-nous pas au pays du soleil de minuit ? Proches ou séparés, sans cesse menacés, Svein et Gertrude s'aiment et se sont aimés dès le premier regard, dès l'instant où, follement imprudente. la jeune fille a emmené chez elle, pour le soigner, le blessé, victime d'une mystérieuse agression. Parviendront-ils, au milieu de tant d'embûches, à dominer le sort, à transformer la FOLLE IMPRUDENCE qui les ramène sans cesse l'un vers l'autre en une merveilleuse félicité ? Source : Editions Tallandier

N° 3097 - Le sourire aux lèvres d'après le roman de Claude Jaunière

3,75 €
Extrait : La violence du choc fut telle qu'elle m'étourdit. Projetée en avant comme par une énorme gifle, je fus littéralement éjectée de ce tambour de porte et me retrouvai affalée sur le dallage du hall, ne comprenant rien à ce qui m'arrivait. Une voix qui venait de haut articula : — Excusez-moi, vous avez dû vous faire très mal. Levant la tête, je vis un homme à l'expression agacée…

N° 3189 - La vie n'est pas un roman d'après le roman de Claude Jaunière

3,75 €
LA VIE N'EST PAS UN ROMAN. C'est, du moins, ce qu'affirme Stéphanie — dix-huit ans — sur un ton désabusé, parce qu'une confrontation brutale avec les réalités de l'existence l'a violemment heurtée. Certes, la vie a ses épisodes noirs, ses déceptions, ses blessures, ses échecs, mais elle comporte certainement des chapitres de bonheur, d'espoir, de douceur. Qu'est-ce qu'un roman, sinon la réalisation d'un rêve ? Qu'est-ce qu'un rêve, sinon le besoin de croire et de constater qu'il y a des amours heureuses, des mariages réussis, des familles unies ? Alors, pourquoi pas vous ? Pourquoi pas moi ?

N° 1493 - Pourquoi refuser le bonheur ? (France Noël)

3,56 €
Extrait : Les conversations qui s'étaient tues pendant que Gilles Lorrain, debout sur l'étroit guéridon du bar, exécutait au son du pick-up un swing sauvage et désordonné qui tenait beaucoup plus de la crise d'épilepsie que de la danse, reprirent de plus belle avec des cris, des huées et des applaudissements lorsque le jeune homme sauta à terre et, tout essoufflé, se jeta dans un fauteuil. …

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…

N° 1649 - Un soir... sur le port (France Noël)

3,74 €
Extrait : La brume était si dense que les lumières des bateaux semblaient danser à travers des épaisseurs de coton. Un petit crachin glacé pénétrait partout plus sûrement qu'une grosse pluie sans ruse. François releva le col de son imperméable, puis il s'arrêta pour bourrer et allumer sa pipe. Un instant il dut lutter contre le vent qui faisait vaciller la flamme de l'allumette, il jura entre ses dents puis se remit en route, les deux mains dans les poches, d'une allure nonchalante de promeneur. La nuit était complètement tombée, une de ces nuits hostiles et brumeuses, au cours desquelles la solitude semble plus amère. François s'arrêta contre la porte éclairée d'un café pour regarder sa montre. Il n'était pas encore neuf heures. Il avait toute la soirée devant lui. Il se demanda ce qu'il pourrait faire pour tuer le temps. Les affiches lumineuses d'un cinéma l'attirèrent. Il s'approcha mais constata qu'on y projetait le même film qu'il avait vu annoncé l'avant-veille dans une salle de son quartier à Paris…

N° 1718 - Une vie sans histoire (France Noël)

4,50 €
Extrait : Les cloches de l'église annoncèrent la sortie de la grand-messe ; les enfants du catéchisme s'agitèrent sur leurs bancs et tournèrent la tête vers la porte du fond qu'on venait d'ouvrir et par où l'on voyait un coin de ciel gris. Le claquoir de « M. l'Abbé » les rappela à l'ordre et les têtes se retournèrent vers le maître autel. Un coup de claquoir fit lever les enfants comme si l'on faisait jouer un ressort. Un rapide signe de croix qui semblait plus destiné à chasser les mouches qu'à affirmer leur foi chrétienne et les petits pieds chaussés de gros souliers d'hiver martelèrent les dalles de l'église. Sur la place, les gens s'assemblaient et les conversations de tous les dimanches reprenaient. On s'interrogeait sur l'emploi du temps de l'après-midi ; on se demandait des nouvelles ; on commentait le sermon virulent de M. le Curé qui avait stigmatisé les « tièdes » qui viennent à l'église plus pour faire admirer leur toilette dominicale que pour honorer et prier le Seigneur. On se répétait des phrases du sermon. Personne n'avait pris paroles du prêtre pour soi, comme il arrive toujours en pareil cas…

N° 1628 - Le plaisir et le bonheur (France Noël)

3,74 €
Extrait : L'auto roulait à vive allure sur le petit chemin bordé d'oliviers. Sur la droite, on apercevait la ligne étincelante de la mer. Les cigales chantaient et leur cri strident, monotone, semblait la chanson même de cette terre provençale si belle et si riche dans sa pureté géométrique. Les mains sur le volant, le jeune conducteur jeta sur la droite un regard d'ivresse ; la vue de la mer à l'horizon, bleue comme sur les cartes postales à bon marché, dont on a toujours tendance à croire qu'elles exagèrent les couleurs, lui versait une allégresse qui lui donnait envie de chanter et de crier de joie physique, comme un enfant. Il reporta son regard sur le petit chemin de terre rouge, si étroit qu'il devait rouler doucement pour ne pas accrocher au passage les troncs argentés des oliviers, et se mit à siffler une chanson d'étudiant. Il se sentait joyeux, plein d'entrain pour commencer la vie, la vraie vie qui l'attendait maintenant que ses études étaient terminées. Il s'étonna de voir soudain sur le chemin, ordinairement désert, une silhouette de femme…

N° 1530 - Le démon du printemps (France Noël)

3,74 €
Extrait : Assise sur le bord du sentier, les pieds ballants au-dessus du vide, la jeune femme contemplait la magnificence du couchant. Il y avait dans ce spectacle quelque chose qui lui serrait la gorge et lui donnait une vague et en somme assez agréable mélancolie. Les beaux spectacles que la nature prodigue à ceux qui savent les voir l'avaient, de tout temps, totalement exaltée. — Quelle enfant je fais ! murmura-t-elle pour elle-même. J'ailes larmes aux yeux pour un coucher de soleil réussi, pour un clair de lune romantique ou même simplement pour l'odeur puissante des seringas dans la nuit, exactement comme lorsque j'avais quinze ans. Il serait tout de même temps que cela se passât ! Malgré l'ironie qu'elle s'efforçait d'exercer contre elle-même, elle savait très bien, qu'au fond, elle ne souhaitait pas « que cela passât ». Il lui arrivait parfois d'envier les êtres qui traversent la vie sans rien ressentir que de superficiel car, disait-elle, « ceux-là souffrent moins… »…

N° 1514 - Son prince charmant (France Noël)

3,05 €
Extrait : La jeune fille déposa sur le sol sa charge de bois et frotta l'une contre l'autre ses mains violacées par le froid. Une mèche de cheveux bouclés s'échappait du capuchon de bure qui lui couvrait la tête et pendait entre ses sourcils ; elle la releva d'un geste machinal et essuya, du dos de sa main, son visage mouillé de pluie. Derrière elle, dans le chemin défoncé, ses sabots avaient laissé des empreintes profondes, emplies d'une eau grise et boueuse. La pluie ne cessait pas et le vent qui soufflait en rafales faisait gémir les sapins d'une longue plainte lugubre et presque humaine. La jeune fille frissonné. La distance qui lui restait encore à parcourir lui paraissait accablante. Elle avait froid, le bois était lourd, le soir tombait et le silence environnant, seulement troublé par le bruit de l'eau et du vent, avait quelque chose d'angoissant auquel elle ne pourrait jamais s'habituer. La pèlerine de drap grossier qui la couvrait presque jusqu'aux chevilles était imbibée d'eau, et elle se sentait glacée jusqu'aux os…
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