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  • Auteurs: Friedrich Feld
  • Auteurs: Général Giraud
  • Auteurs: L. Veil
Pouf fait du cinéma (Friedrich Feld) - Rouge et Or Dauphine N° 4.335
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N° 4.335 - Pouf fait du cinéma (Friedrich Feld)

4,95 €
Une toute petite fille esquimaude seule sur un iceberg qui part à la dérive… et un ours blanc qui semble son ami, voilà qui est peu banal ! Le capitaine Bouton, debout sur le pont, ajuste sa longue-vue : ses yeux ne l'ont pas trompé. Vite, il vole au secours des deux isolés avec Robert, son quartier-maître. Mais Takuma et Pouf, c'est le nom des deux rescapés — vont donner bien du fil à retordre à ceux qui les ont sauvés ! Ce livre plein d'humour, écrit en une langue simple et moderne par un auteur ayant déjà plusieurs romans à son actif, est un vrai roman policier pour les tout-petits. Pour Garçons et Filles dès 6 ans.

Mes évasions (Général Giraud)

5,95 €
La carrière du général Giraud, soldat sans peur et sans reproche, a été marquée par trois mémorables évasions. En 1914, après la bataille de la Marne, évasion du capitaine Giraud de l'hôpital allemand d'Origny-Sainte-Benoîte et retour en France par Bruxelles, La Haye et Folkestone. De mai 1940 à avril 1942, préparation minutieuse et réussite méritoire du chef-d'oeuvre d'ingéniosité et de sang-froid que fut l'évasion du général d'armée Giraud de la forteresse nid d'aigle de Kônigstein. Enfin, en novembre 1942, embarquement en sous-marin, au large des côtes de France, vers Gibraltar et l'Algérie. Un livre exaltant pour les Français de tout âge.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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