Accueil

Accueil

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Gary Lukinburg
  • Auteurs: Jean Glachant

Le matin des suaires brûlés T2 : Le souffle des légendes (Lukinburg, Tandiang)

5,98 €
Au fond des Ages incertains, alors que l'homme était sous le joug des Dieux Anciens, des Héros naquirent qui changèrent l'Histoire du Monde. Celui d'entre eux, qui fut sans doute le plus légendaire s'appelait SEM. Il eut bien d'autres noms sous d'autres cieux, mais sachez qu'il venait d'OUROUK, près de la Mer Morte, et que, sous la poussière de soufre qui recouvre aujourd'hui son tombeau inviolé, reposent les restes d'un prophète enveloppé pour l'éternité dans un suaire brûlé… Malgré les morsures acharnées de ses ennemis qui ne prient pas sous son glaive et qui veulent encore effacer ses traces posthumes, il est demeuré égal à lui-même, comme une fière statue de granit peut supporter les assauts de l'orage et les outrages du Temps. Cruelle époque il traversa ! Il était issu d'un monde barbare dans lequel personne n'épargnait personne, où l'enfant pouvait tuer son père et la mère égorger l'enfant. Simplement, il cherchait à survivre au coeur d'un chaudron qui n'était pas fait pour lui ! Voilà pourquoi, sans le vouloir vraiment, il en forgea un autre…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire