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  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Magali

N° 3293 - Le Prince du Désert d'après le roman de Magali

3,75 €
Le prince du désert d'après le roman de Magali Un beau jour, Isabelle annonce à Edith, sa soeur jumelle : « Je vais épouser Mansour, un prince arabe. Il habite un palais maure en Kabylie. » Edith hausse les épaules… Pourtant Isabelle a bien épousé Mansour et il l'a emmenée dans son pays. Edith reçoit, au début, quelques photos lui montrant sa soeur dans un somptueux palais oriental. Ensuite, plus rien… L'angoisse, jour après jour, submerge Edith qui finit par trouver un emploi lui permettant de partir sur place à la recherche de sa jumelle. Là-bas, personne à l'adresse indiquée ! Pire : le couple semble n'avoir jamais existé, personne n'en a entendu parler… Edith trouvera-t-elle un appui auprès de l'inquiétant Rachid qu'elle a rencontré au cours de son voyage ? Dans quelle mesure pourra-t-elle se fier à cet autre prince du désert ? Mystérieuse et fascinante aventure que cette d'Edith, bien attachant roman que « LE PRINCE DU DÉSERT » de Magali, qui nous fait accompagner la jeune fille depuis les montagnes sauvages et grandioses de Kabylie jusqu'en Belgique, avec les merveilles de Bruges.

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…

A quoi pensais-tu, Marion ? (Magali)

3,50 €
A quoi pensait-elle, Marion, à l'aéroport de Nice ? Elle se trompe d'avion, prend celui qui la dépose à Malaga tandis que Stan, son mari, l'attend à leur domicile parisien. Une chance, cette méprise ! L'avion pour Paris s'est écrasé. Aucun rescapé. Marion l'apprend sur le chemin du retour. Elle imagine le choc de Stan quand il va la revoir vivante. Sa surprise, sa joie… Le choc, c'est Marion qui le reçoit, douloureusement, lorsqu'elle pénètre avec précaution dans la maison qu'elle croit endeuillée… Une femme se tient près de Stan. Ses paroles stupéfient la revenante ! Marion ne songe d'abord qu'à s'enfuir. Puis à se venger. Une vengeance qu'elle veut totale et raffinée... Ainsi se retrouve-t-elle peu après dans un vieux château de Sardaigne pour y remplir une étrange mission. Le jeune maître du domaine, l'impérieux Carlo, un soir, la trouble intensément. Mais à quoi penses-tu donc, Marion !

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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