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  • Auteurs: Guy Bass
  • Auteurs: Iris Danbury
  • Auteurs: L. Veil

P'tit Cousu T1 : La parade des monstres (Guy Bass)

3,95 €
Si vous apercevez au loin le sombre château de Grottegroin, surtout, surtout, REBROUSSEZ CHEMIN ! Car c'est là que vivent le professeur Erasmus, le plus fou des savants fous, et les horribles monstres qu'il a créés. Parmi eux, il y a P'tit Cousu, la toute première création du professeur, une créature faite de bric et de broc, qui n'a qu'un désir : qu'on se souvienne de lui… Pour 8 ans et plus.

N° 302 - La coupe du bonheur (Iris Danbury)

2,95 €
Extrait : Barbara Challon se sentait mal à l'aise. Pourquoi avait-elle éprouvé le besoin de mentionner les origines autrichiennes de sa grand-mère ? Elle connaissait pourtant l'impulsivité de Gina ! Elle jeta un rapide coup d'oeil rapide à sa demi-soeur qui conduisait la petite voiture verte, un sourire sur les lèvres. — Tu ne peux traverser l'Autriche sans rendre visite à cette branche de ta famille, insista Gina. Tu n'auras peut-être jamais l'occasion de revenir dans ce pays. — Ils ne savent même pas que j'existe. — Raison de plus pour te manifester. Parle-moi encore de grand-mère et de ce mariage romantique. Barbara soupira. — Que veux-tu que je te raconte ? Je t'ai dit qu'elle était autrichienne et qu'elle s'était enfuie de chez elle pour épouser mon grand-père paternel qui, lui, était anglais. Je ne les ai connus ni l'un ni l'autre…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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