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  • Auteurs: Faye Morgan
  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: L. Veil

N° HS - Pour te trouver toi (Faye Morgan) - Un printemps fiévreux (Simone Hadary)

1,95 €
Pour te trouver toi (Faye Morgan) C'était la quatrième cause que Linda perdait contre le même adversaire... Avocat "nommé d'office" pour défendre une clientèle imposée, elle n'avait aucune chance contre l'éminent juriste Jefferson T. Langford ! Tout les sépare, et pourtant son adversaire lui fait une proposition bien tentante…  Résistera-t-elle longtemps au charme perfide du trop beau Jefferson ? Un printemps fiévreux (Simone Hadary) Un matin d'avril, parce qu'elle a une panne de voiture, Cathy rencontre Robbie. Elle est divorcée, mère de quatre enfants, professeur à l'université d'Orange dans l'Ohio. Il est étudiant dans cette même université. Elle a trente-six ans, il en a vingt-cinq… Le désir naît entre eux. Est-ce seulement la fièvre du printemps ? Ou le prélude à un véritable amour ?

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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