Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Christian Poslaniec
  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Marcel Vigier

Le treizième chat noir (Christian Poslaniec)

2,56 €
A Beaugency, il y a un pont et une légende. La légende raconte qu'autrefois, tout le monde pouvait entrer à Beaugency en traversant le pont, mais personne ne pouvait en ressortir. Quiconque tentait de franchir le pont en sens inverse était transformé en chat noir, qui allait semer le malheur dans les contrées avoisinantes. Quiconque, excepté une personne. C'est la légende du chat du diable. Dès son arrivée à Beaugency, l'écrivain Christian Spivac a croisé la légende. Il l'a même frôlée de très près. Et il a rencontré un garçon mystérieux, qui semble vivre tout seul, et qui dit fabriquer du malheur. Christian Spivac se rendait simplement au Salon du livre de Beaugency. Maintenant il attend le treizième chat noir. De 9 à 12 ans.

N° 519 - Soupirs d'amour (Marcel Vigier)

3,05 €
Extrait : Se tenant par le bras, les deux jeunes gens cheminaient doucement. Roger se pencha vers l'amie, et tout bas, demanda : — Tu m'aimes ? Elle sourit à cette question qui lui parut saugrenue, tant ils s'étaient juré souvent qu'ils s'adoraient. Une lueur malicieuse passa dans ses grands yeux noirs et ses lèvres sanguines s'écartèrent sur la ligne laiteuse des dents. Il l'étreignit passionnément, et ils rirent ensemble avec éclat, sans raison, simplement parce qu'ils étaient heureux. — Bientôt ! fit-il à mi-voix. Et elle sourit encore, comprenant qu'il s'agissait de leur mariage fixé à une date proche. Puis ils se remirent en marche vers le toit maternel, où chaque soir, le jeune homme reconduisait l'aimée. Devant la porte, ils eurent une dernière étreinte qui les jeta poitrine contre poitrine, tremblants de tout l'être. Et Roger s'éloigna, le coeur serré par une tristesse insurmontable…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire