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  • Auteurs: Boris Moissard
  • Auteurs: Jackie Merritt
  • Auteurs: L. Veil

Prune princesse de Monaco Créteil (Boris Moissard)

2,92 €
Comment devient-on une princesse ? En général, il suffit de naître dans une famille royale. Comme son père n'est pas roi, Prune n'a que peu de chances de devenir un jour une princesse, et cela la met très en colère. Elle trouve que c'est une injustice grave. Heureusement, son père pense comme elle, il trouve que c'est vraiment trop moche et décide de combattre l'injustice. Il s'engage à faire de Prune la première princesse de Monaco née à Créteil. Il établit pour elle un programme très sérieux, en cinq points. Premièrement : pour devenir une princesse, Prune doit absolument jouer au tennis, même si elle ne dispose pour cela que d'une poêle à crêpes... De 6 à 8 ans.

N° 1176 - Trop beau pour être honnête (Jackie Merritt)

2,95 €
La vive et jolie Gus a un diminutif de garçon, un travail de garçon mais, face à l'irrésistible et dangereux Cash Saxon, elle est la plus vulnérable des femmes. En effet, Cash use de toutes les armes de sa séduction naturelle — et Dieu sait s'il en a — pour manoeuvrer contre Gus et l'évincer de l'exploitation forestière dont il voudrait reprendre la direction exclusive. Du moins, est-ce ainsi que la jeune femme voit les choses dans ses moments les plus noirs... Mais dès qu'elle se retrouve dans le lit de Cash, dans ses bras, elle peint la vie en rose… Alors, comment choisir entre l'illusion du bonheur et la certitude de la trahison ; ou entre la certitude du bonheur et l'illusion de la trahison ? Cash est-il vraiment trop beau pour être honnête ?

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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