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  • Auteurs: Barbara McMahon
  • Auteurs: Jacky Goupil
  • Auteurs: L. Veil

Lorette et Harpye (Jacky Goupil, Crisse)

6,60 €
C'est moi Lorette, c'est toi Harpye, C'est moi la maigre, c'est toi la bouffie… Avec leurs piedscrotteux et leurs balais, voisines deux sorcières échappées de l'Épée de Cristal. Elles sont un peu simples d'esprit, parfois méchantes, souvent bêtes, mais toujours drôles ! Ce recueil regroupe les meilleurs gags des albums Lorette et Harpye 1 et 2.

N° 1047 - Les armes du coeur (Barbara McMahon)

2,15 €
En général, quand Jackie avait envie d'un garçon, elle le conquérait avec ses jeunes vingt-quatre ans, sa fraîche beauté et son sourire coquin ; elle n'avait pas besoin de faire la démonstration de ses autres qualités… Mais cette fois, avec Ben Davis, ça ne marchait pas. Le charme de la jeunesse devenait même un handicap que Jackie se demandait comment surmonter. Car Ben, de 12 ans son aîné, considérait leur différence d'âge comme infranchissable. Il n'ignorait pas Jackie, ne la repoussait pas, mais il lui martelait qu'il n'était pas pour elle. Et d'autant moins qu'il se remettait mal du deuil de sa femme. Pourtant, Jackie sentait bien qu'il fondait, par moments, qu'il posait sur elle des regards où renaissaient la vie, le désir, le gout du plaisir ! Elle pouvait lui faire du bien, elle en était sûre ! Seulement, pour le séduire, elle n'allait pas pouvoir se contenter de son joli minois et de son corps de sirène : ses qualités de coeur feraient la différence. Un défi à relever ! Mais n'était-elle pas suffisamment amoureuse pour relever ce défi-là ?

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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