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  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Susan Gable

N° 975 - L'amour d'un enfant (Susan Gable)

2,95 €
Par générosité et en souvenir de leurs amours d'enfance, Lexie accepte de porter le bébé de David, dont l'épouse, Angela, est stérile. Mais, atterrée, Lexie découvre au fil de sa grossesse la personnalité cachée d'Angela. Confrontée à l'aveuglement de David, trop amoureux pour accepter la vérité sur sa femme, Lexie finit par prendre la décision mûrement réfléchie de fuir avec l'enfant pour le protéger. Quatre ans plus tard, tandis qu'elle mène avec la petite Sarah une vie clandestine mais heureuse, David les retrouve et se présente à sa porte. Entre-temps, il a compris le geste salutaire de Lexie et se montre indulgent ; mais il lui annonce qu'il n'est pas prêt à transiger sur ce qui est pour lui l'essentiel : il veut élever Sarah et la ramener avec lui dans sa ville.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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