Accueil

Accueil

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Janet Kebbell
  • Auteurs: Marguerite Soleillant

N° 92 - A la Folie Morgan (Janet Kebbell)

3,95 €
La Folie Morgan est une grande demeure, enfouie au coeur du comté de Kent ; construite au siècle dernier sur le modèle des châteaux Tudor, elle est habitée par Daniel Morgan et une fillette de neuf ans, Mary, sa fille… apparemment. Daniel a engagé Annelise Mitchell pour s'occuper de l'enfant, intelligente et trop avancée pour son âge. Mary a une véritable passion pour son oncle Timothy, frère de Daniel. Le jeune homme est léger, dépensier, brillant ; il s'amuse à laisser croire qu'il fait la cour à Annelise, pour mécontenter Daniel, semble-t-il, et révèle à la jeune gouvernante que son frère aîné à l'habitude de ne s'attacher à aucune femme. Qu'attend-on exactement d'annalise… et quel jeu joue Timothy ? N'est-il pas beaucoup plus dangereux qu'on ne serait tenté de le croire au premier abord ?

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire