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  • Auteurs: Anne Claire
  • Auteurs: Jean Dufaux
  • Auteurs: Marcel Vigier

Samba Bugatti T1 (Jean Dufaux, Griffo)

9,95 €
Les machines agonisent. Les machines sont malades… Rongées, contaminées par un virus transmis par l'homme, les unes après les autres, les machines aux écrans purulents, à l'acier rouillé, à l'âme court-circuitée, se meurent… Samba Bugatti. Attaché à la section prévention. Dossier protégé par le code N.Q.I. Données non communicables. Profession : traquer et éliminer les porteurs de virus, les donneurs de gangrènes… Un homme fort et dur, sans pitié, sans remords, Samba Bugatti. Un homme fait pour déjouer les pièges de ce monde de rouille et de vapeur, de violence et d'illusions.

Samba Bugatti T2 : Monkey-Rock (Jean Dufaux, Griffo)

7,95 €
Il n'y a plus rien… Enfin presque ! Les machines sont rongées par le cancer de la rouille et le monde est plongé dans une crise sans nom ! Samba Bugatti aussi, est infecté ! Lui qui a pour mission de traquer et d'éliminer les porteurs de virus, les donneurs de gangrènes porte à même la chair la bactérie de Lagopa. Comme une bombe à retardement, cette infection, fera de cet homme sans pitié, sans remords, un Monkey. Un être devenu machine, possédé par le fer et la rouille... Il a trois jours pour détruire les exemplaires du Beatifica Blues ! Trois jours pour échapper, aussi, à Ziggy Montana et Algon Cage ! Trois jours pour accepter de vivre ou devancer la mort !… Trois jours…

Samba Bugatti T3 : Le mystère Bugatti (Jean Dufaux, Griffo)

7,95 €
Le monde est rouillé, triste, terne et froid… L'humanité est grippée, fatiguée, tétanisée par la peste pourpre qui envahit ses rouages, tandis que survivent ceux qui ont les moyens d'échapper à ce phénomène de contagion… Samba Bugatti a-t-il les pouvoirs nécessaires pour enrayer cette mécanique infernale ? Lui, qui porte à même la chair le virus, pourra-t-il démonter les rouages d'une implacable machination et mettre à mal le pouvoir néfaste d'Algon Cage?… Seule l'agonie métallique de ce monde en décomposition peut le dire… Seule la trajectoire d'un homme guidé par la passion pourra résoudre cette énigme…

L'impératrice Rouge T1 : Le sang de Saint-Bothrace (Jean Dufaux, Philippe Adamov)

8,00 €
L'impératrice Catherine, reine de toutes les Russies n'est qu'une étrangère, tout le monde le sait… Aussi est-elle rejetée par la cour impériale. L'Impératrice Rouge est bien trop fière pour accepter l'idée d'un partage du pouvoir avec son mari, l'Empereur Pierre. Entre ces deux époux ennemis la guerre est déclarée, chacun rivalisant dans la cruauté et cherchant à s'allier des forces présumées indomptables. La lutte qui s'engage dans les couloirs du palais va bientôt s'étendre sur toutes les steppes et le conflit entre un homme et une femme engager la vie de tout un peuple.

N° 519 - Soupirs d'amour (Marcel Vigier)

3,05 €
Extrait : Se tenant par le bras, les deux jeunes gens cheminaient doucement. Roger se pencha vers l'amie, et tout bas, demanda : — Tu m'aimes ? Elle sourit à cette question qui lui parut saugrenue, tant ils s'étaient juré souvent qu'ils s'adoraient. Une lueur malicieuse passa dans ses grands yeux noirs et ses lèvres sanguines s'écartèrent sur la ligne laiteuse des dents. Il l'étreignit passionnément, et ils rirent ensemble avec éclat, sans raison, simplement parce qu'ils étaient heureux. — Bientôt ! fit-il à mi-voix. Et elle sourit encore, comprenant qu'il s'agissait de leur mariage fixé à une date proche. Puis ils se remirent en marche vers le toit maternel, où chaque soir, le jeune homme reconduisait l'aimée. Devant la porte, ils eurent une dernière étreinte qui les jeta poitrine contre poitrine, tremblants de tout l'être. Et Roger s'éloigna, le coeur serré par une tristesse insurmontable…

N° 1656 - Je vous aime ! (Anne Claire)

3,74 €
Extrait : Eric Sauvage marchait lentement dans le petit square ombragé de vieux marronniers qui commençaient à se couvrir du brouillard vert des nouvelles feuilles. Il poussa du pied, à plusieurs reprises, un caillou rond comme du temps où il était petit garçon. Il se souvint soudain des gronderies de sa mère « Eric, Eric, je t'en supplie, tu m'uses toujours ton soulier droit deux fois plus vite que le gauche à cause de tes maudits cailloux !… Ne peux-tu voir à terre une pierre ou une vieille boîte sans la transformer en ballon de football, Eric ?… » Il sourit en lui-même à la chère image qui commençait à s'estomper. Ce rappel de sa mère lui réchauffa le coeur et lui rendit du courage. L'horloge du lycée sonna les trois quarts d'une heure. Des gamins passèrent près du jeune homme en se bousculant et en criant. Ils jetèrent leur cartable sur un banc et sortirent de leur poche un sac de billes. — Un quart d'heure encore avant le bahut, les vieux, on a le temps d'en faire une, cria le plus grand d'une voix éraillée de gamin qui s'égosille tout le jour…

N° 1647 - Une femme survint (Anne Claire)

3,05 €
Extrait : — Il me semble que j'entends battre la porte des chevaux. Crois-tu que Firmin l'ait fermée avant de monter se coucher ? — Je ne sais pas. Il n'oublie jamais, en général, mais il se peut que le vent l'ait rouverte. On dirait que tous les diables de l'enfer sont déchaînés ce soir. Tiens, les chevaux doivent sentir l'orage. Entends-tu la Blanche qui hennit. — Je crois que nous ferions bien d'aller voir et de vérifier si le poulailler est bien fermé, également. La nuit sera terrible. Depuis des années je n'ai vu un temps pareil ! Jean Michel se leva pesamment du fauteuil où il fumait sa pipe et se dirigea vers la porte. Son frère Robert se leva pour le suivre. Ils avaient tellement l'habitude de vivre ensemble, les deux « ours des Ronciers », comme on les appelait, que leurs mouvements avaient un synchronisme parfait. Jean ouvrit la porte qui donnait sur la terrasse et, tête baissé, résista en maugréant contre le vent…

N° 1692 - Douloureux problème (Anne Claire)

3,05 €
Extrait  : — Florence, appela une voix basse et impérieuse du fond de l'appartement, Florence où es-tu ? Une jeune femme mince et blonde qui se tenait devant la fenêtre et regardait les filles et les garçons en toilettes claires passer dans la rue, tressaillit comme si une main s'était posée sur son épaule. Elle repoussa brusquement les battants de la fenêtre. Il semblait qu'on venait de la surprendre en faute. — Je viens Régis, cria-t-elle. En traversant la pièce, elle s'arrêta devant un grand vase d'où jaillissaient des branches de lilas blanc et enfouit son visage dans les grappes fraîches et odorantes. Elle les respira avidement comme un prisonnier aspire l'air de la liberté. Du fond de l'appartement, la voix appela de nouveau : — Florence, j'ai besoin de toi, viens. La jeune femme se dirigea rapidement vers la chambre d'où venait l'appel. Dans un lit, face à lêa fentre, gisait un homme si ravagé par la souffrance et la maladie qu'il était difficile de lui donner un âge. Son visage était couleur de cire, ses yeux brillant de fièvre, s'enfonçaient profondément dans les orbites. Il respirait rapidement, avec peine…
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