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  • Auteurs: Anne Eliot
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Sarah Keene

N° 380 - Jeux d'ombres (Anne Eliot)

4,05 €
Après la mort de Georges Brigham, sa fortune demeure introuvable. C'est pourquoi toute sa famille est convoquée par l'autoritaire grand-mère. Andrea, la nièce préférée de Georges — peu appréciée du reste de la famille —, est arrivée au domaine avec John Claiborne, associé de Georges qui ignorait son décès accidentel et est à la recherche de ses capitaux investis avec ceux de Georges dans des recherches de pétrole. C'est une réunion de famille qui prend les allures d'une véritable chasse au trésor. Mais est-ce un jeu innocent ? Et peut-on oublier que des morts mystérieuses et des agressions se multiplient autour de cette affaire de famille ?

N° 139 - Un pirate au paradis (Sarah Keene)

2,95 €
Dans son rêve, elle était Miranda du conte de Shakespeare, vêtue d'une robe longue, ornée de cygnes et de croissants de lune. Elle se trouvait au coeur d'une forêt magique. Un animal aux yeux brillants surgit soudain des buissons. Miranda s'approcha doucement pour mieux discerner la silhouette dans la lumière du clair de lune. C'était le monstre Caliban ! Il l'appela d'une voix rauque et suppliante. Emue par cet être mi-homme mi-bête, Miranda voulut le caresser… C'était Jake Delacroix…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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