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  • Auteurs: Jean Miroir
  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs

Le prince de ses rêves (Jean Miroir)

4,41 €
Extrait : Un vrai bouquet de printemps, ces trois jeunesses qui se prénommaient Guillemette, Rosine et Marie-Pierre, et qui traversaient en ce moment l'enclos du collège nîmois, ombragé de platanes. Les heures scolaires ayant cessé d'égrener leur chapelet de cours et d'études, elles s'apprêtaient à recouvrer la liberté. Il leur suffirait pour cela de franchir la grille du collège Maintenon…

N° 1290 - Le tribunal des coeurs (Jean Miroir)

2,90 €
Extrait : Norbert Pierson avait parlé d'une voix monocorde, les yeux fixés sur la fenêtre d'où l'on apercevait, au travers des vitres, les frondaisons du Luxembourg. Il savait que, s'il regardait ses parents, il manquerait de courage pour continuer. Et ce coup, qui frappait le petit cercle familial jusque là si étroitement uni, il avait le cruel devoir de le leur asséner…

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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