Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs
  • Auteurs: Joseph Evera

N° 222 - Ginette et son roman (Joseph Evera) - Elizabeth TAYLOR en couverture

3,50 €
Ginette et son roman Roman sentimental inédit par Joseph Evera Extrait : En face du ciné Palace, Ginette Dengis marchait de long en large, impatiente et nerveuse, elle ne cessait de consulter son bracelet-montre… Enfin, elle eut un soupir agacé. — Il est cinq heures et demie, pensa-t-elle avec regret : j'ai une patience à charmer les tigres. Tout à coup, une femme d'une quarantaine d'années, vêtue correctement d'un tailleur gris, se détacha de la foule des passants et se dirigea tout droit vers la jeune fille. — Pardon, Mademoiselle, dit la femme en tailleur gris… Etes-vous Ginette Dengis ? Ginette balbutia, surprise et un peu décontenancée : — Heu !… oui. Ce… c'est moi. — Je vous prierai de bien vouloir me suivre, reprit la femme d'un ton assez autoritaire…

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire