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  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs
  • Auteurs: Joachim Renez
  • Auteurs: Louis Dorey
Le petit prisonnier (Louis Dorey) - Les livres roses pour la jeunesse N° 228
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N° 228 - Le petit prisonnier (Louis Dorey)

9,90 €
12 Gravures Extrait : Joseph Chryset Prisonnier de Guerre à onze ans I - LA REVUE DES BRANDEBOURGEOIS Un matin du mois d'août 1914, par les rues du bourg picard, une vingtaine de uhlans trottaient la lance en main. De leurs brebis rousses sortaient des commandements rauques. « Rentez chez vous ! Ouvrez les portes ! Fermez les fenêtres ! » Et les pointes des lances venaient piquer les vieilles gens qui ne se garaient pas assez vite. Les Saxons suivaient les uhlans, et ceux-là pillaient méthodiquement : lard, poulets, brebis, tout leur était bon. Des caves bourgeoises les officiers se faisaient apporter les grands crus de Bourgogne et de Bordeaux. Le gros vin et le cidre picard suffisaient pour les hommes. Le pays épuisé, les régiments allemands passèrent sans s'arrêter. « Nach Paris ! Nach Paris ! » (à Paris ! à Paris !). Et le flot coulait comme une source intarissable…

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…

N° 1029 - La torture du délaissé (Joachim Renez)

3,05 €
Extrait : Les orgues entamèrent la marche nuptiale de Lohengrin et les mariés, suivis d'un nombreux cortège, descendirent l'escalier de l'Eglise de la Madeleine, dont les marches, recouvertes d'un immense tapis rouge, furent foulées par une assemblée élégante et aristocratique. La grande porte ouverte permettait aux bavards, assemblés devant les grilles, d'apercevoir les mille lumières des cierges ponctuant d'étoiles la pénombre qui envahissait l'ancien temple de la Victoire. Il était midi et les midinettes de ce quartier, où la grande couture et les modistes en renom tiennent leurs assises, écarquillaient les yeux, admirant et même critiquant avec ce sens aigu de la parisienne, pour le chic et l'élégance, tous ces heureux qui défilaient, papotant et avec des visages de fêtes, suivant les héros de cette cérémonie nuptiale…

N° 1142 - Les amants tragiques (Joachim Renez)

3,05 €
Extrait : Dans la cellule n° 1 un homme est étendu sur sa couche que mouille une sueur d'agonie. Il ne dort pas ; il ne peut dormir. Les bruits vagues de la prison le tiennent en éveil. Ces rumeurs inaccoutumées présagent pour lui la venue de l'aube sinistre où il paiera la dette qu'un assassin doit payer à la société. La loi des hommes est dure ; cette fois elle frappe en aveugle. Tel a été le verdict des jurés. Cet homme a tué ? Il doit mourir ! Cependant, ce condamné n'était pas un homme méchant. Quels furent les mobiles de son crime ? L'amour. Eveillé, celui qui est encore Charles de Meuze ressasse les heures sinistres que depuis des mois il vit. Il écarte de son esprit toute cette agonie et se retrempe aux heures douces où il aimait et était aimé de Lionette…
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