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  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs
  • Auteurs: Nicole Monet
Un soir de tendresse (Nicole Monet) - Harlequin DUO N° 135
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N° 135 - Un soir de tendresse (Nicole Monet)

2,95 €
Un soir de tendresse (Nicole Monet) A dix-neuf ans, Sara Benedict s'estime assez grande pour prendre en main son destin de femme ! Mais, sous prétexte qu'il s'est engagé à aider la jeune fille après le décès de son père, Rand Emory ne l'entend pas ainsi ! Homme d'affaires puissant et respecté, il s'est mis en tête de secourir Sara et lui propose même… le mariage ! Révoltée, elle s'oppose à sa formidable autorité. Cependant, plus difficile encore, il lui faut résister à son charme ravageur ! Il y va de son amour-propre. Mais entre l'amour-propre et l'amour tout court, la frontière est parfois fragile. Et si la ravissante Sara sort ses griffes, elle ne rêve pourtant que de tendresse et de passion…

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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