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  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs
  • Auteurs: Suzanne Clausse

Un soir sur la grève… (Suzanne Clausse)

4,24 €
En Angleterre, un soir sur une plage, Véronique a été le témoin furtif et angoissé d'une rixe entre deux inconnus, dont l'un s'est enfui. Un peu plus tard, rentrée en France, la jeune fille croit reconnaître l'un des antagonistes dès qu'elle rencontre Jacques-Yves, jeune diplomate très séduisant. Malgré le doute qui l'obsède - l'un des hommes de la plage a été tué - Véronique se sent envahie par un irrépressible amour pour Jacques-Yves alors que celui-ci ne lui témoigne qu'une aimable indifférence. Pire encore !… Véronique découvre son attachement pour une jolie femme, Simone, dont le mari est un inquiétant personnage. La seule victoire en amour est-elle la fuite ? Véronique essaye de s'y résoudre, sans le moindre succès car le destin s'obstine à la remettre en présence de Jacques-Yves. Il semble maintenant s'acharner à vouloir la troubler. Un jeu bien dangereux. Pour lui aussi, peut-être ?

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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