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  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs
  • Auteurs: Paul Hervieu
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Perdu dans la taïga (Victor Astafiev) - Castor Poche N° 147 - Flammarion
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Perdu dans la taïga (Victor Astafiev) - Castor Poche N° 147

2,74 €
Ce  matin-là, le fusil à l'épaule et la cartouchière à la ceinture, Vassioutka s'enfonce dans l'immense taïga. Il sait qu'il ne doit en aucun cas quitter le sentier tracé dans l'épaisse forêt. Mais soudain, un grand tétras s'envole sous ses yeux. Oubliant les recommandations de sa mère, Vassioutka poursuit l'oiseau… Sous les yeux de Ghirmantcha, la barque de ses parents s'est retournée dans les eaux du fleuve en furie. Ni le père, ni la mère ne réapparaissent… Deux courts récits inspirés de l'enfance de l'auteur dans sa Sibérie natale.

L'Alpe Homicide (Paul Hervieu)

12,00 €
L'Alpe Homicide (Paul Hervieu) Extrait Chapitre I : Quand j'arrivai à Chamonix, la nuit avait depuis longtemps noirci la vallée. Quelques lumières, en ville, indiquaient le seuil des pensions, le pont sur l'Arve et les quatre coins de la place qu'encombrait la compagnie des guides en quête de clients. Ma monture se fraya un passage au milieu de ces groupes patients et taciturnes ; et je l'arrêtai à la porte de l'hôtel de l' Ours . J'étais harassé par quinze heures de chevauchée à travers les montagnes de la Savoie ; et le froid, que les approches de l'automne faisaient descendre sur la pente des glaciers plus intense et plus humide, étreignait mes épaules et raidissait désagréablement mes genoux. J'avalai un bol de punch et je me couchai sans souper. Il est très difficile de s'endormir, dans un hôtel, avant que tout le monde soit au lit. Jusque-là le parquet sonore des couloirs est battu de pas lourds ; les gens de service s'interpellent et remuent des choses retentissantes. Des portes ouvertes crient en se fermant ; d'autres crient dès qu'on les ouvre, et leurs entrebâillements livrent passage aux récoltes pesantes de chaussures que les divers genres de promiscuité ont produites dans chaque chambre. Peu à peu ce tumulte s'apaisa ; mais l'énervement de fatigue où j'étais me tenait éveillé. Et à mesure que les bruits environnants diminuaient de force, mon oreille devenait impressionnable à des sons plus délicats…

Le cheval à la crinière rose (Victor Astafiev) - Castor Poche N° 187

2,15 €
Dix récits à mi-chemin entre les souvenirs et la fiction. Une galerie de portraits d'enfants de l'Oural et de Sibérie. La rude nature nordique ne fait pas de cadeaux. Il n'est pas sans danger de dérober ses petits à une martre, de s'aventurer sur l'Ienisseï quand la glace est encore fragile. Même les flaques de boue mal séchée du printemps peuvent réserver des surprises. L'auteur nous fait assister à la petite guerre que se livrent Victor et sa grand-mère qui l'élève. Aux ruses du garçon répondent les colères à demi feintes de la vieille paysanne. Il faut compter aussi avec le fils du voisin, qui entraîne Victor dans bien des mésaventures...

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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