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  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs
  • Auteurs: W.S. Foord

N° 412 - Un amour à la dérive (W.S. Foord)

3,95 €
La sympathique Stanley Baker, membre de l'équipe de sauvetage dont s'enorgueillit le petit port britannique de Haven Bay, éprouve un tendre penchant pour Marjorie Foster, la jolie institutrice. Mais la jeune fille se considère comme fiancée à Tommy Carr, habitant d'un port voisin ; il doit incessamment revenir d'Ostende pour présenter Marjorie à ses parents. Voici qu'une terrible tempête se déchaîne : le bateau qui ramène Tommy est perdu en mer. Stanley se porte aussitôt au secours des hommes en détresse : Tommy n'est point parmi les rescapés ! En revanche, y figurent Stott, un dévoyé, et sa complice, Millie, qui vont terroriser Haven Bay. Marjorie devient l'otage de Millie qui lui fait de curieuses révélations : Tommy Carr n'est pas allé à Ostende mais à Londres… A-t-il menti pour cacher une escapade sentimentale ? Accablée, prisonnière, la jeune institutrice ne peut imaginer le dénouement de la situation… !

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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