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  • Auteurs: Gary Paulsen
  • Auteurs: Jo Pestum
  • Auteurs: L. Veil

Le pirate sur le toit (Jo Pestum) - Folio Junior N° 590

2,74 €
Le pirate sur le toit (Jo Pestum) Même dans ses rêves les plus fous, Paul n'aurait jamais imaginé que les vacances d'automne se révéleraient aussi fertiles en événements étonnants et en aventures héroïques. En l'espace de quelques jours, il va apprendre à boxer à la façon des kangourous ; parcourir un cimetière à la recherche d'une tête de mort ; dénicher une authentique princesse ; préparer le ravitaillement d'un équipage ; vendre des allumettes sous un surprenant déguisement… Et tout cela, parce qu'il a rencontré… le pirate sur le toit. De 7 à 12 ans.

L'homme aux peaux de renards (Gary Paulsen)

3,50 €
Lorsqu'on est surpris dans une tempête de neige à la nuit tombante en pleine forêt, à des dizaines de kilomètres du village le plus proche, la vue d'une cabane au milieu d'une clairière, avec une cheminée qui fume, a quelque chose de providentiel ! Malgré tout, ce fut avec une certaine appréhension que je frappai ce soir-là à la porte de l'homme aux peaux de renards. Que pouvait bien avoir à cacher l'occupant de cette cabane pour vivre si loin de la civilisation ? Le secret de l'homme aux peaux de renards, je n'allais pas tarder à le découvrir. Dès qu'il m'ouvrit, j'eus un mouvement de recul et faillis repartir en courant dans le blizzard. J'ai mis du temps à m'y faire, à son secret. Mais je n'ai pas eu à le regretter, car il devait changer ma vie…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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