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Il y a 4 produits.

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  • Auteurs: Joyce Dingwell
  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Ursula Vernon

Princesse Henriette T2 : Le bal des 12 souris (Ursula Vernon)

6,45 €
Henriette n’est pas une princesse comme les autres. Elle est bruyante, courageuse et têtue. Et elle a une mission : comprendre pourquoi les douze princesses souris du royaume voisin dansent toutes les nuits. Heureusement, elle a aussi un atout secret : un poncho d'invisibilité qui lui permet de suivre les danseuses sans se faire voir. Que la fête commence ! À partir de 8 ans.

Princesse Henriette T1 : Hamster au bois mordant (Ursula Vernon)

6,45 €
Henriette n’est pas une princesse comme les autres.  Elle n’est ni délicate, ni polie, ni silencieuse. Et elle adore s’entraîner à l’épée.  Mais une terrible malédiction la menace : le jour de ses douze ans, elle se piquera sur une roue pour hamster et s’endormira pour toujours.  N’importe qui serait terrifié… mais pas Henriette l’invincible !  Que l’aventure commence  ! À partir de 8 ans.

N° 724 - Phineas ou la sirène du désert (Joyce Dingwell)

2,56 €
Un désert rouge… A l'horizon la poussière ocre et rousse, des terrils, un motel en construction… Pourquoi Sara, sur un coup de tête, a-t-elle quitté les plages australiennes pour venir travailler sur cette terre inhospitalière ? Quel mystère plane ici, sur cette famille ? Quelle séduction l'attire vers les mines désaffectées ? Est-ce le romantique Timothy, le chercheur de pierres précieuses ou son frère ennemi, aussi vindicatif que troublant ?…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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