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  • Auteurs: Jack London
  • Auteurs: Kate McMullan
  • Auteurs: L. Veil

L'école des Massacreurs de Dragons T6 : Il faut sauver Messire Lancelot ! (Kate McMullan)

2,56 €
La fée Morgane a jeté un terrible sort à Messire Lancelot, le plus grand chevalier de tous les temps. N'écoutant que leur courage, Wiglaf et ses amis se lancent à sa recherche. Mais la Forêt des Ténèbres regorge de pièges et d'obstacles. Les apprentis Massacreurs viendront-ils à bout des trolls, sorcières et autres créatures malfaisantes qui se dressent sur leur chemin ? Retrouvez Wiglaf et ses amis dans une aventure pleine d'humour et de suspense, qui vous plongera dans l'atmosphère des légendes médiévales. À lire dès 8 ans.

Le loup des mers (Jack London)

2,74 €
Après un naufrage, Humphrey Van Weyden, un gentleman fluet, est recueilli puis enrôlé de force comme mousse par Loup Larsen, un terrifiant capitaine de goélette, buveur, violent mais très cultivé. Ce capitaine, athée, éprouve peu à peu une sorte d'estime teintée de mépris pour Humphrey, à l'inverse, très religieux : " si vous savez que quand vous mourrez, vous irez dans un monde meilleur, alors, pourquoi avez-vous peur de mourir ? ". Ainsi naissent les premières joutes verbales — pleines d'humour et d'esprit — qui rythment ce passionnant récit d'aventure, et qui redoubleront à l'arrivée d'une jeune femme, un futur enjeu pour ces deux hommes. À partir de 11 ans.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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