Chariot
0 articles
Votre panier est actuellement vide
Login
Connexion au compte existant Connectez-vous à votre compte
réinitialiser le mot de passe
Nouveau compte S'inscrire
Accueil
-
- Harlequin
- J'ai lu
- Duo
- Presses de la Cité
- Ferenczi & Fils
- Librairie Jules Tallandier
- Romances - Divers éditeurs
- Magazines - Suppléments
- Littérature Jeunesse
- Activités - Coloriages - Jeux
- Lire en anglais
- Livres pour les tout-petits (0-3 ans)
- Premières lectures
- Contes, légendes et mythologies
- Histoire et Classiques
- Petites et grandes fictions
- Bandes dessinées
- Bibliothèque Verte
- Bibliothèque Rose
- Bibliothèque Rouge et Or
- Collection Spirale
- Idéal~Bibliothèque
- Journaux - Brochures
- Les bandes dessinées
- Autres rayons littérature
- Harlequin
Filtrer par
Auteurs
Auteurs
Collections
Collections
Editeurs
Editeurs
Prix
Prix
-
2,00 € - 5,00 €
Accueil
Affichage 1-3 de 3 article(s)
N° 387 - Le chemin du retour (Claude Fayet)
2,50 €
Denis Morlay, parce qu'il était pauvre, a refusé l'amour de Rémine de Barjac. Il est parti en Amérique. Lorsqu'il revient en France, fortune faite, il apprend que Rémine a épousé Robert de Saint-Vallier. Un hasard les remet en présence au cours d'une dramatique soirée. Denis constate que la jeune femme n'est pas heureuse. Elle redoute les brutalités de son mari, alcoolique et à demi fou. Cette même nuit, Robert est assassiné et Rémine accusée de meurtre... Le témoignage de Denis la sauve ! Elle disparaîtra mystérieusement après s'être réfugiée en Suisse chez des amis. L'un deux s'en montre très affecté, Claude, un grand malade, désespérément épris de Rémine. Mais quand Denis la retrouve et veut l'amener au chevet de Claude, elle refuse par crainte de subir à nouveau l'emprise du passé. Une question reste pendante : qui a tué Robert ? Fût-ce en raison de l'amour ancien ? La lumière jaillira-t-elle afin que chacun retrouve sa voie et son pays ? Par un autre chemin...
N° 519 - Soupirs d'amour (Marcel Vigier)
3,05 €
Extrait : Se tenant par le bras, les deux jeunes gens cheminaient doucement. Roger se pencha vers l'amie, et tout bas, demanda : — Tu m'aimes ? Elle sourit à cette question qui lui parut saugrenue, tant ils s'étaient juré souvent qu'ils s'adoraient. Une lueur malicieuse passa dans ses grands yeux noirs et ses lèvres sanguines s'écartèrent sur la ligne laiteuse des dents. Il l'étreignit passionnément, et ils rirent ensemble avec éclat, sans raison, simplement parce qu'ils étaient heureux. — Bientôt ! fit-il à mi-voix. Et elle sourit encore, comprenant qu'il s'agissait de leur mariage fixé à une date proche. Puis ils se remirent en marche vers le toit maternel, où chaque soir, le jeune homme reconduisait l'aimée. Devant la porte, ils eurent une dernière étreinte qui les jeta poitrine contre poitrine, tremblants de tout l'être. Et Roger s'éloigna, le coeur serré par une tristesse insurmontable…