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  • Auteurs: Anne McAllister
  • Auteurs: L. Veil

Saint-Valentin : 4 romans Coup de Coeur

2,55 €
Pari sur le bonheur (Anne Stuart) On ne peut imaginer deux personnalités plus dissemblables que Shannon Donnelly et Frederick Lockwood. Pourtant, l'étincelle jaillit entre eux. Alors qui, de Shannon pour qui n'existe que l'amour sincère et durable, ou de Frederick, qui ne jure que par le désir passionné et éphémère, va l'emporter ? Un duel entre Saint-Valentin et Eros, en somme… Tout un jour pour aimer (Judith Arnold) 14 février - 8 h 58. Alors qu'elle vient livrer ses gâteaux pour une soirée donnée par Melanie Steele au manoir de Wyatt Hall, Claudia dérape sur la chaussée verglacée à cause d'un cycliste qui en sort à toute allure. Un vrai désastre dans la voiture ! Tout est à refaire... Le fou imprudent, qui n'est aute que Ned Wyatt, le frère de Melanie, lui propose de l'aider. Bien imprudemment, Claudia accepte. L'amoureux mystérieux (Anne McAllister) Les élèvres de sa classe en sont absolument certains : Jane Kitto, l'institutrice, a besoin d'un homme dans sa vie, un vrai, pas un mystérieux admirateur qui, à chaque Saint-Valentin, lui envoie une breloque qu'elle attache à son bracelet. Jane, elle, n'est pas tout à fait d'accord avec ses petits Cupidon, surtout quand leur choix se porte sur Zach Stoner, un ancien camarade d'école. Le baiser de la Saint-Valentin (JoAnn Ross) Depuis dix ans, à chaque début d'année, Patrick Sullivan se fait le serment d'oublier son ex-femme, Valentine. En cette veille du Nouvel An, pourtant, le destin va placer Valentine et ses jumeaux — sur le point de naître — sur son chemin.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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