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  • Auteurs: Ariel Berk
  • Auteurs: L. Veil

N° 482 - Les Hauts de Glenville (Ariel Berk)

2,56 €
Mon chéri ! Quelle surprise ! — Pour une surprise… c'est une surprise ! reconnut Nick, perplexe. A vrai dire, il n'avait jamais vu la jolie rousse qui venait de se jeter à son cou ! Tout en l'enlaçant comme elle l'y invitait, il regarda autour de lui pour essayer de comprendre quelles circonstances avaient poussé dans ses bras cette créature de rêve. Ah oui… Un peu plus loin, un grand dadais de quinze ans observait la scène d'un air contrit. La belle audacieuse avait probablement monté cette mise en scène pour décourager l'amoureux transi en baskets. Une mise en scène ma foi fort agréable, comme semblait aussi le penser sa fiancée d'opérette tandis qu'il resserrait son étreinte. Alors, charmé par ce jeu, Nick lui murmura : — Etes-vous libre pour déjeuner, ma chérie ?

N° 359 - Le coeur partagé (Ariel Berk)

2,15 €
La nuit s’épaississait au détour des allées. Une brise de printemps agitait les arbres du parc. Ils demeuraient silencieux, blottis l’un contre l’autre au fond de la calèche. Audrey avait posé sa tête sur l’épaule de Douglas, les lèvres encore humides du baiser qu’ils venaient d’échanger, le corps tout frémissant des mots sans équivoque qu’il avait murmurés. Elle aussi le désirait. De tout son corps, de toute son âme. Mais quoi qu’il arrive, Douglas aurait toujours un fils. Un fils qui, quoi que Douglas en dise, leur interdirait toujours de s’aimer.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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