Accueil

Accueil

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Gayle Wilson
  • Auteurs: L. Veil

N° 369 - Et la mort nous séparera (Gayle Wilson)

3,50 €
Sur les marches du tribunal d'où va bientôt sortir Samuel Tate, l'assassin de son fils, Sarah Patterson s'apprête à faire justice. Comment accepter en effet qu'un simple vice de forme permette au monstre qui a tué son enfant de rester impuni ? Et comment accepter surtout que d'autres enfants puissent être un jour victimes de ce serial killer ? Mais alors qu'elle croise le regard de l'homme qui vient de sortir libre du tribunal, et que, le cœur battant, elle s'apprête à appuyer sur la détente, un flic, Mac Donovan, s'interpose. Un flic qui sait comme elle que l'homme est dangereux mais qui ne peut laisser abattre celui que les juges ont relâché. Profitant de la diversion, l'assassin disparaît… Pas pour longtemps : bientôt, en effet, Sarah reçoit des messages angoissants. Des messages qui lui laissent penser, en dépit du scepticisme de la police, que l'assassin n'en a pas fini avec elle. Pourtant, le danger, de plus en plus palpable, se resserre autour de Sarah : son ex-mari, puis un enfant du voisinage, sont à leur tour assassinés. Désormais, Sarah le sait : entre elle et Samuel Tate, la lutte sera sans merci. Et seule la mort les séparera…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire