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  • Auteurs: Ginette Briant
  • Auteurs: L. Veil

N° 3356 - Une heure avant la nuit (Ginette Briant)

3,75 €
Extrait : Il est étrange que l'être humain puisse vivre la troisième partie de ses vingt-quatre heures — les deux premières étant consacrées à son travail et aux voyages auxquels il est astreint pour s'y rendre — dans ces maisons-dortoirs, ces H.L.M. de banlieue qu'un maigre carré de pelouse a pour mission d'enjoliver… Un saule pleureur s'y étiole, dans l'attente d'une fin prématurée…

N° 2832 - Le vent de la plaine (Ginette Briant) - Cadavres en mitaines (Jean-Pierre Ferrière)

4,50 €
Encarts Lecture BS 2832 à détacher Extraits : Le vent de la plaine d'après le roman de Ginette Briant Que me dit-on Sandra ? interrogea le baron Ranyi en s'avançant vers le fauteuil où une jeune fille se tenait immobile. Vous êtes souffrante ? — Une affreuse migraine me serre les tempes. — J'espérais que vous dîneriez avec moi. Oubliez-vous que vous avez vingt ans aujourd'hui ? Je comptais vous souhaitez comme il convent un événement aussi heureux. — Heureux ? répéta la jeune fille. Est-ce vraiment heureux d'avoir vingt ans quand on est orpheline depuis plus d'un an ?… Cadavres en mitaines d'après le roman de Jean-Pierre Ferrière Petite boulotte aux cheveux de neige, Blanche, soixante-douze ans, exerçait une véritable domination sur sa soeur, domination dont la grande Berthe, timide et myope, ne songeait pas à se plaindre, rendant grâce à son aînée d'avoir de la volonté pour deux.  C'était Blanche qui choisissait leurs toilettes (rigoureusement identiques), leurs lectures et le lieu où les deux soeurs allaient passer leurs vacances. …

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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